1. Une maison classique


    Datte: 29/11/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail profélève, école, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral sm, fouetfesse, conte, f+prof, bourge,

    ... croit y lire presque un sourire. Elle le regarde un instant, puis commence à libérer son sexe de ce jean. Elle le regarde à nouveau, attendant un ordre. — Prends-moi dans ta bouche. C’est à lui de gémir. -------------------- Madame Hill se lève, les yeux brillants, elle se rajuste devant un Severin encore hébété par le plaisir que la dame lui a apporté entre ses lèvres. Elle se retourne, ramasse sa cravache et sort de l’écurie sans même un regard pour son « bourreau ». Severin suit des yeux la croupe qu’il a si délicieusement châtiée sans trop savoir s’il ne se réveille pas plutôt d’un rêve. La voix de la soubrette le sort brusquement de sa torpeur ; il a un frisson en réalisant que la jeune femme qui l’appelle du dehors s’approche et risque de le découvrir assis sur cette botte de foin, pantalon baissé et la verge encore abandonnée à son plaisir. Il a juste le temps de remonter son pantalon pour couvrir son ventre avant que la jeune servante n’apparaisse dans l’encadrement de la porte. Encore à demi groggy depuis son « entretien » avec madame Hill, Severin se croit retomber dans son rêve à la vue de la jeune femme : ses cheveux bruns sont noués en un chignon serré qui dégage et révèle des épaules et une poitrine dorées, elle porte une robe, unie jusqu’aux genoux, d’un noir seulement égayé par une coupe dessinée à même le corps et un minuscule tablier blanc. Severin va descendre son regard sur les jambes de la soubrette lorsque la voix de celle-ci l’interrompt : — Je vois ...
    ... que vous avez encore de l’appétit… Le dîner est servi, alors si vous ne voulez pas être privé de dessert, soyez un gentil petit garçon et suivez-moi. Suivre la jeune femme est tout ce que Severin désire. Il peut bien sûr alors détailler à loisir le port impeccable de la femme de service, s’étonner un peu des non moins impeccables coutures remontant des talons vertigineux vers les dessous d’une jupe servant parfaitement le rôle qu’on lui avait confié, affoler les regards mâles. Mais il ressent aussi comme un trouble soulagement de ne plus avoir à essayer de soutenir le regard bien peu dévoué de la servante. Sur le bref parcours les séparant de la maison, les coutures des bas de la soubrette vont elles aussi remplir leur rôle, faire descendre, comme guidés par un aimant, les yeux de Severin vers le bas, de la rassurante croupe aux inquiétants talons aiguilles… Pendant le dîner, Severin essaye d’éviter les regards des femmes, gêné qu’il est par leurs attitudes devant le maître de maison : madame Hill, qui mange son poulet avec les mains dans le seul but semble-t-il de pouvoir se lécher les doigts en regardant Severin droit dans les yeux ; Florence Hill qui observe ce manège d’un air amusé et dédaigneux envers son professeur, comme si elle ne doutait pas que la cravache ait sifflé entre sa mère et ce petit prof, incapable de lui résister. Quant à monsieur Hill, il ne dit mot et garde la tête baissée sur son assiette, comme s’il avait été « grondé » et s’attendait à la punition. ...
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