1. Une maison classique


    Datte: 29/11/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail profélève, école, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral sm, fouetfesse, conte, f+prof, bourge,

    ... -------------------- Severin abrège donc ce dîner et prétexte une légère fatigue, en prenant bien soin d’éviter de se tourner vers madame Hill, pour regagner sa chambre. Une fois couché, le jeune homme essaie de se concentrer sur un devoir mais les images de la journée passée viennent occuper sans partage son esprit. Il revoit la maîtresse de maison, ses seins à demi découverts sous sa blouse entrouverte, son pantalon enroulé sur ses bottes, la douceur de sa poitrine contre ses cuisses, la chaleur de ses lèvres… Il sent le plaisir monter, il va se laisser aller… Mais un bruit dans le couloir le fait sursauter. Il rabat nerveusement la couverture sur son ventre avec ce sursaut de culpabilité et de honte qui l’assaille lorsqu’il a laissé comme maintenant ses mains suivre le rythme de son esprit pervers. Le bruit se répète. Severin attend que son ventre ne l’accuse plus sur ses activités honteuses puis se lève pour sortir dans le couloir. Le bruit ressemble à des voix et semble venir de la chambre de ses hôtes. Il s’approche de la porte à pas feutrés, s’arrête devant celle-ci et écoute. Il entend la voix de madame Hill, impérieuse et moqueuse. Il n’arrive pas à distinguer les mots, mais madame Hill semble parler à un enfant. Severin essaie de se raisonner pour retourner dans sa chambre, mais les images de l’écurie lui reviennent à l’esprit, il a besoin de revoir cette femme à nouveau, et puis la présence de cet enfant dans la chambre des maîtres de maison l’intrigue. Il se ...
    ... baisse pour approcher l’œil du trou de la serrure. Il est suffoqué par ce qu’il voit : madame Hill est debout, dos à la porte. Elle porte un corset de cuir noir, lacé sur le dos, et une jupe du même cuir, moulante, s’arrêtant juste au-dessus des genoux et ouverte derrière afin de laisser à découvert ses splendides fesses… Elle parle à quelqu’un, devant elle, quelqu’un de plus petit qu’elle (car dans cette tenue, Severin ne peux s’imaginer que madame Hill a devant elle un enfant), assis ou à genoux, Severin ne peut rien voir entre les jambes de madame Hill. Mais il se moque de savoir qui est devant madame Hill, il lui suffit de la regarder elle, ces jambes, et cette croupe sur laquelle il croit déceler les traces de sa correction. Une de ses mains se pose sur son ventre, par-dessus son pantalon de pyjama, puis se glisse à l’intérieur, mais il n’a pas le temps d’aller plus loin et se paralyse, pétrifié, en sentant une présence tout contre lui. Il tourne lentement la tête et découvre tout d’abord les escarpins qu’il a détaillés juste avant le dîner, les jambes voilées de noir, le minuscule tablier blanc, et les rondeurs à peine contenues dans un corsage généreusement décolleté. Il n’ose pas aller plus haut. Il se sent trop humilié pour oser affronter le regard de cette femme. Il reste ainsi, comme bloqué, penché en avant contre cette porte, en pyjama, le regard levé vers la poitrine de cette jeune femme. Il sent sa verge continuer à durcir malgré lui. — Voilà un garçon bien vicieux. ...
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