Une maison classique
Datte: 29/11/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
profélève,
école,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
soubrette,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
sm,
fouetfesse,
conte,
f+prof,
bourge,
... Elle le fait se redresser d’une main sous son menton. Il reste maladroitement courbé pour ne pas afficher devant la soubrette l’évidence de ce vice qu’elle lui reproche. Elle croise ses bras sur sa poitrine, Severin ne peux s’empêcher de déglutir et sent à son grand désespoir sa verge sursauter. — Vicieux et sans vergogne ! Elle allonge son bras et saisit à travers le pantalon de pyjama le sexe déjà à demi dressé de Severin. Sous la prise, Severin baisse les yeux sur son sexe, enserré par les doigts féminins. Sa verge se redresse aussitôt. Christiane remue doucement sa main le long de la hampe du jeune homme. Elle scrute ses yeux, hypnotisés par la main, par les doigts fins aux ongles carmins, longs, qui tantôt serrent la verge, tantôt effleurent son bout. Sans cesser son mouvement, elle murmure : — Que faisiez-vous, courbé devant cette porte, vous matiez madame Hill ? Vous la matiez dans sa chambre comme un petit voyeur, n’est-ce pas ?— … Oui…— Et ça vous excite de mater les femmes, hein ? Alors ?— … Oui… Oui, ça m’excite…— Et vous faites quoi lorsque vous vous excitez en matant les femmes ? Que font les petits mâles vicieux comme vous ?— … Je ne… Je ne sais pas… Christiane tire sur la ficelle maintenant le pantalon, qui glisse à terre. Severin réalise un instant qu’il est à demi-nu dans ce couloir, la verge dressée, devant la porte de ses hôtes… Mais la main féminine continue de le travailler lentement. Il voudrait la prendre, lui caresser ces seins qu’il ne peut quitter ...
... des yeux à présent, mais il a trop peur que la caresse s’arrête. Il commence à gémir doucement. — Tu sais très bien ce que font les petits mâles vicieux comme toi lorsqu’ils se sont bien excités… Tu es bien excité, n’est-ce pas ?— … Oh oui… C’est si bon…— Oui, je sais. Tu faisais quoi en matant madame Hill, petit cochon…— Ohhh… Je… Je me caressais…— C’est sûr ? Les petits vicieux comme toi ne se caressent pas… Le va-et-vient se fait plus profond, plus rapide. — Alors, mon petit cochon… ?— … Oh, je, je me branlais, oui…— Oh, mais c’est dégoûtant ça, non ? La main de la jeune femme continue le va-et-vient tout en massant et griffant ses bourses. Severin sent qu’il va exploser, qu’il va exploser là, entre les doigts de cette femme. Il gémit plus fort, oubliant complètement où il se trouve. — Tu as honte d’avoir été surpris à te branler, petit vicieux ?— … Oui… Oui, je suis un vicieux… Oh…— Tu as bien honte ?— Oui… Ouiii… Ohhh… J’ai honte…— Qu’est ce qui arrive alors aux garçons qui se comportent comme toi ? Dis-le-moi… Severin n’entend presque plus la voix, il essaie de réagir aux mots prononcés par la jeune femme, il comprend au fond de lui qu’il perd tout contrôle devant elle, mais il ne sent que la douceur des doigts féminins, il soupire, le souffle court, la verge au bord de l’explosion, il sent la montée du plaisir dans ses reins. Soudain, la main masturbatrice cesse son travail. Severin reste dérouté, il a envie de crier. — Je vous attends demain soir dans ma chambre pour la ...