1. Lettres d'une femme mariée - 1


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, intermast, nopéné, journal, lettres,

    ... mon patron prostré, comme en prière, qui semblait fasciné par le spectacle de mon intimité parée de minces pièces d’étoffe et de dentelle. Je ne sais combien de temps tout cela a pu durer, mais comme la veille, un désir irrépressible commençait à me gagner. Ce n’étais plus me serrer entre ses bras qui aurait pu alors me satisfaire… mais qu’il enfouisse sa tête entre mes cuisses et qu’il y fourre sa langue comme un chien gourmand pour y goûter un succulent nectar ! J’avais l’impression que j’allais vaciller sur mes jambes qui se tendaient sous l’effet d’une excitation grandissante, quand il se releva en s’appuyant à mes poignets, pour les abaisser doucement, afin que je rajuste ma jupe. — J’avais envie de voir ce que vous allez cacher aux clients de l’agence alors qu’ils seront si près de vous… et que vous avez peut-être caché à votre mari ! C’est vrai que je n’ai pas voulu, dès aujourd’hui, te mettre dans la confidence des dessous sexy que j’ai décidé de porter. C’est un secret intime, que finalement je n’étais prête à partager qu’avec mon troublant employeur. Je pense que tu ne peux pas comprendre… même si je sais qu’à partir de maintenant, plus je te dissimulerai de choses sur la nature de cette relation nouvelle, plus un fossé irrémédiable risquera de se creuser entre nous… En même temps ma conscience se libère un peu, à l’idée qu’un jour tu liras ce texte et qu’ainsi ce mensonge trop lourd à porter te sera révélé… Ton épouse pleine de pensées tendres pour son mari… ...
    ... mercredi 29 avril Mon amour, Tu peux penser que les mots tendres qui ponctuent mes lettres ont quelque chose d’artificiel voire d’un peu sadique. Je peux comprendre qu’ils soient cruels pour toi en ce moment où tant de vérités, sans doute douloureuses, te sont dévoilées ; mais sache que je n’y mets aucune malice… et que c’est même l’absence d’arrière-pensées qui m’interdit de feindre avec toi une artificielle froideur. Si je t’appelle mon chéri, mon amour, c’est que malgré l’intensité de ce que je vis, malgré tous ces bouleversements et ceux que je suis peut-être amenée à connaître, je sais que tu resteras toujours un être cher auquel je ne pourrai m’empêcher de penser avec la plus grande tendresse. Cet amour qui a duré entre nous plusieurs années, rien ne peut nous le retirer. L’amour naissant que je te décris, autant que je le décris à moi-même, ne fait que succéder au nôtre, sans l’effacer pour autant. Je sais seulement qu’il ne peut y avoir de place dans une vie de femme comme la mienne pour deux hommes aussi importants que vous. Tu dois te demander comment je peux te comparer à un être que je connais si peu, toi qui m’as tout donné ! Mais c’est précisément là le problème, aucun homme ne peut tout donner à une femme. Il se révèle en moi depuis si peu de temps des désirs, une soif de posséder, de vivre des sensations que tu ne pourras jamais m’offrir. Je ne peux pas t’en faire le reproche, et je me dis que tu feras sans doute une rencontre toi-même avec une femme qui t’offrira ...
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