Lettres d'une femme mariée - 1
Datte: 02/12/2019,
Catégories:
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Collègues / Travail
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... de ses pas. Quand la porte s’ouvrit, je ne pus m’empêcher de sursauter. C’était déjà la deuxième fois que je me sentais prise en faute… — Mes photos vous plaisent ? Cette fois, je ne savais quoi répondre. Dans ma tenue « d’hôtesse d’accueil » apprêtée avec soin, je me sentais mal à l’aise. Sans doute qu’il ressentit cette situation puisque ses premiers mots furent pour me rassurer. — Vous êtes parfaite ! Je vois que vous avez le sens de ce qui peut plaire à la clientèle. Vous êtes à la fois tout à fait classe et, en même temps, diablement séduisante dans ce petit tailleur qui met vos formes délicieuses particulièrement en valeur. Je n’étais pas insensible à toutes ces flatteries qui émanaient de l’homme auquel je n’avais cessé de penser lorsque j’avais choisi soigneusement ces vêtements. — Est-ce que vous avez commencé à rédiger vos lettres ? Je lui ai répondu que oui, aussi naturellement que si j’avais terminé de taper un rapport de travail. — Rassurez-vous, je ne vous demanderai pas tout de suite de m’en faire la lecture. Il faut au moins que vous ayez le choix entre plusieurs. Je savais que je m’étais soumise à ces comptes-rendus épistolaires sans savoir encore à quelle occasion tu pourrais toi-même les lire. Mais je ne lui posai pas davantage de questions. — Je vais vous laisser auprès de Muriel et d’Andrew à la boutique pour qu’ils vous accompagnent dans votre première confrontation à la clientèle. Mais je sais, de toute façon, que vous ne me décevrez pas ! Par contre, ...
... j’aimerais vous demander pour aujourd’hui une dernière faveur. Curieusement, je devinai encore une fois que je ne pourrais que lui dire oui, alors que j’ignorais la nature même de sa requête… — Je voudrais que vous me montriez ce que vous cachez sous votre jupe pour savoir si… si vous êtes attentive à ce que je vous ai dit. Je ne pus m’empêcher de penser alors au tableau de l’Indienne que je venais de voir. Pour ne rien faire paraître de mon émotion, je décidai de regarder fixement cette photo. Je n’étais plus moi-même, c’était comme s’il venait de s’adresser à une autre que moi. Je m’aperçus pourtant alors, que le plus simplement du monde… c’était bien moi, ta petite femme d’habitude si timide, qui était en train lentement de relever sa jupe de mi-cuisse jusqu’à la taille ! J’étais littéralement sous son emprise et je réalisai que, si telle était sa volonté, il était capable de m’emmener très loin, dans des territoires pour moi aussi inconnus que la plupart de ces destinations qu’il me fallait aider à vendre pour le satisfaire. Curieusement le temps paraissait suspendu et je n’entendis bientôt plus que le frottement du tissu sur mes bas, sur mes dessous de dentelle et ma peau nue. Ensuite ce fut le doux bruit de sa respiration lente et profonde alors qu’il s’était placé à genoux sans que je m’en sois rendue-compte. Son visage était proche, au point que je sente la douce caresse de son souffle entre mes cuisses. Je ne pus réfréner mon envie de baisser les yeux pour découvrir ...