1. Lettres d'une femme mariée - 1


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, intermast, nopéné, journal, lettres,

    ... ne le vis tout d’abord pas. Et puis en entrant dans son bureau, il me gratifia d’un bonjour un peu sec sans même lever son regard vers mon visage. En le voyant essentiellement attiré par les courbes de ma silhouette, je ne pus m’empêcher de penser à son côté décidément rustre et macho ! Mais dès qu’il a plongé ses yeux dans les miens, j’étais à nouveau prête à fondre. Il m’a demandé de l’attendre dans son bureau tout en lisant le dossier de présentation de mon nouveau travail. Il n’y avait là rien que de très classique pour moi à l’égard d’un métier que j’avais déjà exercé. Il insistait sur le devoir d’information à la clientèle, la capacité à convaincre, l’appât qu’il fallait exploiter concernant les promotions, le fait de donner le sentiment que l’offre proposée avait quelque chose d’unique, même pour les produits standards. Bien sûr, l’accent était mis sur la patience et l’amabilité. Tout cela me paraissait tout à fait naturel et, dans ce document officiel, il n’était évidemment pas question du contrat bien particulier qui me liait à mon patron. À vrai dire, je ne savais pas quelle était la nature profonde de ses exigences, même si le simple fait d’écrire ces lettres singulières qui t’étaient adressées, impliquait d’évidence des rapports bien plus étroits que ceux que l’on entretient d’habitude avec un supérieur. Il m’a dit ensuite, en quittant la pièce, de revenir dans quelques instants. J’étais assez tendue, une fois la lecture du rapport achevée, et l’attente me parut ...
    ... interminable. J’ai eu alors le loisir d’observer certains objets qui parsemaient son bureau. Il y avait quelques petites figurines d’origines diverses qui, bien que discrètes, lorsqu’on y prêtait une réelle attention avaient toutes en commun leur caractère sexuel explicite : que ce soit cette Vénus africaine en ivoire, à la poitrine et au fessier généreux ou un phallus dressé qui basculait de façon lancinante, à côté d’un coupe-papier aux motifs également érotiques. Outre les inévitables photos de paysages paradisiaques, se trouvaient aux angles opposés de la pièce, un peu dans la pénombre et visibles de son seul bureau, des photos « artistiques » de femmes passablement dénudées et lascives, aux origines les plus diverses. S’il en était besoin, j’avais la confirmation du goût certain de mon employeur pour les jolies femmes. Il y avait ainsi une superbe Noire à la poitrine arrogante, dont le corps quasi-nu recouvert d’huile, brillait sous un soleil de plomb. Plus loin, une Asiatique au corps menu, bien que parée d’un voile de soie, ne masquait pas grand chose de son anatomie, sous l’effet à la fois de l’humidité moite qui faisait adhérer le tissu à sa peau et d’une lumière directe qui révélait son entrecuisse à la sortie d’un bain. Plus loin encore, c’était une Indienne dans une position plus impudique encore, parce qu’elle paraissait dérobée par le photographe, qui soulevait son sari pour se livrer à des ablutions intimes… Mais ma « petite visite » fut interrompue par le bruit ...
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