Lui
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
ff,
jeunes,
vacances,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
uro,
Résumé du précèdent épisode :Nathalie, jeune étudiante, découvre l’amour de groupe et son penchant pour les filles dans une colo, en 1975. Après un séjour éreintant et riche en émotion, elle repart en vacance, restant amoureuse de ses deux amies Héloïse et Corinne. Elle se retrouve seule, perdue sur une île grecque pour des vacances méritées, quand une nymphe lui tombe dessus sur sa plage préférée. Celle-ci finit par l’inviter dans sa maison. Et nous voilà parties par le petit chemin, elle devant et moi derrière. En fait de derrière, j’avais le sien devant mon nez et cela m’allait bien. C’est la première fois que je me baladais à poil dans un sentier, et j’aimais ça. Pas si puristes que cela, nous avions chacune une paire de sandales pour nous aider dans ce petit chemin caillouteux qui nous menait vers une maison plus haute et plus loin que je ne le pensais. J’imaginais que ses cousins devaient être du même genre qu’elle et cela me laissait une légère impression de… je ne saurais dire… En montant je fredonnais une chanson des Beatles fort mal à propos : Et nous arrivâmes dans une propriété de carte postale avec piscine et tout et tout. Celle qui devait être sa cousine bronzait sur un transat, nue évidemment, et malgré cette nudité, je l’imaginais s’habiller très romantique. Elle nous fit un petit signe de la main, comme gênée. Un garçon sortit de la maison par la terrasse. Lui était vêtu d’un maillot de bain et surtout d’un regard qui me laissait sous-entendre que nous ...
... n’étions pas bienvenues. — Tu ne peux pas t’empêcher ! Tu vois une fille, et hop ! Ma pauvre Hélène qu’est-ce qu’on va faire de toi ? Il semblait avoir une trentaine, était beau, bien musclé mais en même temps il se déplaçait d’une manière féline. — Je te rappelle que tu es chez moi, et c’est moi qui me demande ce que je vais faire d’un malotru qui ne salue même pas mes invitées.— Difficile de se présenter à une si belle fille sans culotte, moi cela me trouble. Alors, elle était bonne ta partie de léchouille ?— Occupe-toi de tes fesses Jean-Marc ! Il m’échauffait les oreilles celui-là, et soudain je sentis Hélène souffrir, et immédiatement je pris sa défense — Sans culotte, peut-être mon cher, mais j’ai effectivement l’habitude, même sans culotte, qu’on parle de moi autrement. Alors, sache, comme présentation officielle que, oui la léchouille était bonne, mais je me dis qu’elle devait être aussi bonne pour celui qui regardait avec ses jumelles, non ? Et puis au fait, moi, c’est Nathalie ! Il me regarda d’abord avec surprise, puis avec un certain intérêt et me demanda à brûle-pourpoint — Tu as déjà fait de la danse ? Classique, moderne, jazz ? Désarçonnée par le propos incongru, je hochai la tête en signe d’assentiment. Finalement, je répondis : — Classique au début puis moderne, et un peu de jazz aussi ! Mais c’est quoi cet interrogatoire ?— Laisse ! me coupa Hélène, viens avec moi. Elle se dirigea vers une porte, l’ouvrit, me laissa passer, la claqua et… éclata en sanglots ! Je ...