Lui
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
ff,
jeunes,
vacances,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
uro,
... deux vides dans ce domaine : les enfants, auxquels je m’étais attachée, et le groupe d’amis amant(e)s que j’avais laissé. C’est donc un peu plus fraîche, douchée et habillée d’une petite robe d’été que je revins. Je réalisai soudain qu’à l’intérieur de la propriété la nudité était toujours de mise. J’arrivai par la piscine et les vis tous les trois en train de nager, dans le plus simple appareil. Tout en s’éclaboussant en riant. Cette insouciance contrastait avec ce que j’avais vu quelques heures auparavant, et à l’appel des trois cousins, je les rejoignis d’une tête dans l’eau. Le chahut reprit de plus belle, mais je sentais qu’Hélène faisait attention à ne pas être trop proche de moi. Puis nous remontâmes nous sécher. Hélène alla un peu plus loin et écartant les cuisses, urina tout debout le long de la haie, rappelant à son cousin qui l’invectivait à ce sujet, que lui non plus ne manquait pas de l’arroser ! J’eus l’impression que les hostilités allaient reprendre mais ils rirent tous les deux et Jean-Marc alla lui-même se soulager. Je réalisai que l’engin était de belle taille quand j’entendis Caroline me dire : — Et alors, toi, tu n’as pas envie ?— En fait si, mais…— Alors ose ! dit-elle à haute voix. Hélène embraya : — Nathalie, on te présente les toilettes publiques, la haie du Nord-ouest ! Au point où j’en étais, je les rejoignis. J’eus un peu de mal à commencer, j’étais un peu contractée par le fait qu’ils étaient trois à me regarder. Puis je me laissai aller ...
... doucement, debout, comme elle, quand je sentis une chaleur sur mes fesses, puis quelque chose couler qui ne venait pas de moi. Je sursautai quand je constatai que c’était Caroline qui me pissait dessus. — Ça ne va pas, non ? dis-je en m’écartant puis en essayant de l’attraper. Elle courut jusqu’au bassin et sauta. Je suivis, trop contente de me rincer d’une manière peut-être pas très hygiénique, mais rapide. Puis le chahut reprit et enfin nous nous calmâmes. Hélène s’était mise à sécher sur un transat. Faisant la planche à côté de Caroline, je l’entendis me chuchoter : — Merci de l’avoir remis en place, cela lui fait du bien.— C’est toi qui nous épiais dans la chambre ? demandai-je à mi-voix.— Non, c’est pas ce que tu crois, je voulais juste savoir si elle ne pleurait plus, Je ne savais pas.— Tu ne serais pas un peu amoureuse de ta cousine par hasard.— Non, pouffa-t-elle ! Ce n’est pas parce qu’on s’est embrassées un jour… En fait j’aime trop les mecs. Mais Hélène, c’est comme ma sœur, et je n’aime pas qu’on lui fasse du mal— Et ton frère ?— Ça c’est autre chose. Je dirais… qu’ils ont une attirance - répulsion !— Les deux ?— Oui, je crois ! Et sur ces paroles, elle partit d’un dos crawlé qui mettait en valeur ses tétons érigés comme des phares au milieu d’îles océaniques. Jolie ! Je me dis que je ne pouvais pas sauter comme ça sur tout ce qui bouge. Une petite voix me dit :et pourquoi pas ? Parce que, ma pauvre fille, t’es un peu paumée, chamboulée, retournée dans ta vie et qu’il est ...