1. Anton


    Datte: 10/12/2019, Catégories: ff, jeunes, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, attirgros,

    ... minets dragueurs et sûrs d’eux qui constituaient l’essentiel de la gent masculine alentours. Anton se disait peintre. Il n’en vivait pas, il s’empressa de le dire. Il avait perdu ses parents qui lui avaient laissé une fortune suffisante pour le mettre à l’abri du besoin jusqu’à la fin de ses jours. Il avait déjà exposé, disait-il, avec un petit succès. Il travaillait à une seconde exposition. Des tableaux surtout. Mais aussi des œuvres étranges, à mi-chemin entre la peinture, la sculpture et la performance d’artiste. Marie se noyait dans ses paroles sans chercher à comprendre ce qu’il disait. Elle priait pour que cette conversation ne s’arrête jamais et, accessoirement, que Camille ne rentre pas dans la pièce. Il était près de cinq heures lorsqu’elle regarda autour d’elle. Le ciel blanchissait. La musique avait cessé depuis longtemps. L’appartement s’était vidé. Le salon était obscur, et on devinait quelques formes enlacées dans les canapés. Anton se leva. — Ça vous dit un petit déjeuner aux aurores, Marie ? Je connais un petit boui-boui pas loin qui peut nous faire ça. Marie acquiesça. Ils allèrent chercher son manteau dans la chambre de Charlotte. Elle eut du mal à la retrouver dans cet immense appartement obscur. Elle croisa Bérangère, très occupée avec un grand type d’archi qu’elle poursuivait depuis la rentrée. La porte de la chambre était fermée. Elle la poussa et elle céda brutalement. Marie demeura interdite. Charlotte était nue sur le lit et la tête de Camille ...
    ... s’activait entre ses jambes. Marie sentit son sexe se mouiller, et dut s’appuyer au chambranle. Elle ne pouvait détacher les yeux de la scène. Charlotte semblait sortie d’une pub de magazine. Son ventre ondulait, sa peau dorée avait des reflets scintillants et son nombril était orné de ce qui semblait être un diamant de belle taille. Les mains de Charlotte étaient fines et soigneusement manucurées. Elles ouvraient son sexe glabre à la caresse de Camille. Ses yeux fortement rehaussés de mascara regardaient fixement Marie et Anton. À leur entrée, elle écarta plus encore ses chevilles et jouit sans retenue, sans cesser de les regarder. Marie ne reprit ses esprits qu’une fois dehors. Elle sentait la jouissance de Charlotte entre ses propres jambes. Elle s’arrêta pour reprendre ses esprits, et sentit l’humidité de son sexe s’accroître. — Bon. Camille est finalement arrivée à ses fins, rit Anton. Marie le regarda surprise. Quelle gourde ! Elle n’avait rien vu, rien soupçonné. Un bonheur intense l’envahit. Ils marchèrent en silence pendant quelques minutes, puis Anton rompit le silence : — Mademoiselle, dit-il. Marie le regarda étonnée. Il avait l’air soudain tout timide. — Marie, reprit-il. Est-ce que vous accepteriez de poser pour moi ? Marie se mit à rire de bon cœur. Elle était heureuse. — Alors, vous, c’est ça votre technique. C’est original, remarquez. Anton eut l’air malheureux. — Non, dit-il. Je vous promets que nous ne ferons rien. C’est simplement que vous êtes très exactement ...
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