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Florence
Datte: 11/12/2019, Catégories: ff, fépilée, vacances, plage, piscine, Masturbation init, Lesbienne
... de bain, ce qu’elle ne faisait jamais à la villa. La vue de sa poitrine me troubla. Elle avait des seins plutôt petits mais aux belles aréoles sombres et aux mamelons assez gros ; tout le contraire de ma poitrine. Je l’imitai, c’était la première fois que je pouvais faire du monokini. Mes parents ne me le permettaient pas. J’étais grisée par cette nouvelle petite liberté. Nous avons commencé la séance de bronzette par l’application de crème solaire. Sur le visage, la poitrine, le ventre, l’avant des cuisses. J’ai dû faire un effort pour détacher mon regard de ses mains quand elle a étalé la crème sur ses seins. Nous étions allongées sur des draps de bain posés sur le sable et, alors que nous avions toute la place que nous voulions, nous étions étendues l’une tout contre l’autre. Je sentais le moindre de ses mouvements, parfois nos pieds se frôlaient. Nous n’avions jamais été aussi proches à la piscine où nous utilisions les chaises longues. Après vingt minutes sur le dos nous nous sommes retournées et chacune à enduit le dos de l’autre de crème. Elle se laissa faire en premier. J’ai été très soigneuse et j’ai terminé par l’intérieur de ses cuisses. Puis ce fut à mon tour de m’allonger sur le ventre. Elle étala la crème jusque près du pli de l’aine. Ça ne pouvait pas être pour protéger cet endroit du soleil. Je me demandais si ce geste pouvait avoir une signification et laquelle. Ne sachant qu’en penser, je le mis sur le compte d’une spontanéité plus grande et plus tactile ...
... que ce qui était de mise dans mon milieu. J’étais perplexe, je voulais me convaincre que je me faisais des idées. — On va dans l’eau ? dit-elle soudain.— Oui, je veux bien, je commence à avoir chaud. Nous nagions plutôt bien toutes les deux. Nous sommes allées jusqu’à une des balises délimitant la zone de baignade. Nous-nous y sommes accrochées quelques minutes le temps de reprendre un peu notre souffle. C’était assez peu pratique car le flotteur en plastique jaune était glissant et n’offrait aucune prise. — Mettons-nous de chaque côté, ça sera plus facile, dit Florence. Après nous être placées de part et d’autre, nous nous sommes étreintes au-dessus de la bouée qui s’enfonça un peu. Effectivement, il était nettement moins pénible de s’y tenir de cette façon. Je fus troublée par cette proximité. Son visage était tout près du mien et nos jambes se frôlaient dans l’eau. Nos regards se croisèrent et je sentis une émotion passer entre nous. Revenues sur la plage, nous avons commencé à sentir la faim. Près de là il y avait un petit restaurant à la terrasse de laquelle nous nous sommes installées. Nous avons commandé des salades. Je suis restée en maillot de bain et j’ai simplement enfilé mon tee-shirt. Florence, plus élégante que moi, avait croisé les coins d’un paréo turquoise sur sa poitrine avant de les nouer sur sa nuque. À la fin du repas, elle a décalé sa chaise et a étendu ses jambes au soleil. Je la regardais je la trouvais vraiment très attirante. Le paréo d’étoffe légère, ...