Florence
Datte: 11/12/2019,
Catégories:
ff,
fépilée,
vacances,
plage,
piscine,
Masturbation
init,
Lesbienne
... dépourvu de tendresse. Avec Florence, au contraire, je n’avais qu’à me laisser faire ; c’était très agréable. — Je peux dénouer le haut de ton maillot ? me demanda-elle.— Bien sûr, répondis-je, désireuse de prolonger ce savoureux moment. Je ne fus pas déçue car cela dura encore de longues minutes. Elle m’enduisit de la nuque au haut des fesses puis l’arrière des jambes et l’intérieur des cuisses, ce qui m’étonna un peu mais que je trouvai fort plaisant. Pour marquer la fin de son massage, elle me fit un petit bisou sur la nuque. — Tu veux bien m’en passer également ? Je pris le tube et me mis du produit sur les mains tandis qu’elle s’installait sur une autre chaise longue qu’elle avait tirée près de la mienne. Effectivement le haut de son de maillot de bain me gênait. Je m’enhardis et tirai sur l’un des cordons pour le dénouer. À ce moment, elle poussa un profond soupir. La sensation de ce corps que je sentais abandonné sous mes mains créait des émotions nouvelles pour moi. Imitant ce qu’elle venait de me faire je lui ai également passé de la crème à l’intérieur des cuisses. Pour me faciliter la tâche, elle écarta légèrement les jambes et se cambra un peu. À la fin, je lui rendis le petit bisou sur la nuque. J’étais troublée par ce que nous venions de faire qui était pourtant bien anodin. Je pensais discerner de l’ambiguïté dans l’amitié qui était en train de naître entre nous.« Tu te fais de idées » me suis-je dit. Mais mon trouble persista. Depuis toujours je préférais les ...
... filles – que je trouvais belles et intelligentes – aux garçons – que je trouvais laids et bêtes. Quand ma sexualité s’est éveillée, j’ai vite réalisé que mes désirs allaient aussi vers les filles. Je pensais que personne de mon entourage ne pouvait me comprendre et je n’en avais jamais parlé à qui que ce soit. Le sexe, et plus encore l’homosexualité, n’étaient pas le genre de sujet dont je pouvais parler avec mes parents. Je gardais donc mes penchants pour moi. En attendant, je passais pour une fille sérieuse ; c’était toujours ça de gagné. Ce n’était qu’une apparence. Depuis son arrivée, Florence était devenue le personnage principal et presque unique des fantasmes que j’assouvissais chaque soir seule dans mon lit. Un matin, les hommes décidèrent que nous déjeunerions dans un restaurant réputé qui leur avait été conseillé. Contrairement à ma mère, qui adorait ce genre de sorties, ni Florence ni moi n’étions enchantées à l’idée de passer de longues heures à table. Elle me fit un signe discret et je la suivis jusque dans la cuisine. À voix basse, elle me parla de son idée : — Ça te dirait d’aller à la plage plutôt ?— Oh oui ! Ça sera sûrement plus sympa que leur restau. Contrairement à ce que je craignais, ni mes parents, ni son mari ne firent d’objections et, dès la fin du petit déjeuner, nous partîmes toutes les deux dans sa voiture vers le littoral. Le temps était splendide et la mer très belle. Nous-nous sommes installées sur la plage. Elle ôta aussitôt son haut de maillot ...