1. Florence


    Datte: 11/12/2019, Catégories: ff, fépilée, vacances, plage, piscine, Masturbation init, Lesbienne

    ... en particulier l’échancrure qu’il formait sur son ventre, ajoutait à l’attrait de son corps. La transpiration commençait à perler sur ses cuisses. Je la détaillais en pensant aux autres femmes pour qui j’avais déjà éprouvé le même genre de trouble. Une prof de sport en particulier, que j’avais souvent vue en maillot de bain. — À quoi penses-tu, Sylvie ? Sylvie ! Tu rêves ? Je réalisai qu’elle devait m’observer depuis un moment et j’en fus gênée. — Euh ! À rien… enfin… si, mais… en fait, je me disais, … je me disais que j’aimerai bien avoir un paréo. Elle semblait amusée par mes bafouillages. J’eus la nette impression qu’elle avait deviné mes pensées. — Tu as raison, je crois que ça t’irait très bien. Nous sommes retournées sur la plage pour de nouvelles séances de bronzette et de nouvelles baignades. Quand la foule a commencé à devenir plus dense autour de nous, nous sommes reparties vers la villa. À notre arrivée, nous y étions seules. — Je vais prendre une douche, me dit Florence, le sel et le sable me démangent.— Moi je vais me baigner, répondis-je. J’ai fait deux longueurs puis je me suis rincée au tuyau d’arrosage avant de m’installer à l’ombre sur un des longs fauteuils pour lire un magazine. Je vis Florence venir, enveloppée dans son ample peignoir blanc. Elle s’est assise en tailleur sur la chaise longue placée en face de moi et se mit à brosser ses longs cheveux. Sa ceinture, qui devait être mal nouée, s’était détachée et les pans d’éponge épaisse s’étaient écartés ...
    ... lorsqu’elle s’était installée. Elle semblait ne pas s’en être aperçue. J’avais une vue directe sur une partie de ses seins et l’intégralité de son sexe entièrement lisse. C’était une grosse surprise pour moi qui était si fière de ma pilosité pubienne, signe de ma maturité. Je n’avais jamais pensé qu’on puisse s’épiler totalement cet endroit. Ma mère se faisait bien « faire le maillot » avant chaque vacance mais, si j’avais bien compris, il ne s’agissait que de supprimer les poils qui risquaient de se voir autour dudit maillot qu’elle devait d’ailleurs emporter chez son esthéticienne à cette occasion. Cette vision d’un sexe complètement glabre me montrait, s’il en était besoin, que certaines choses m’échappaient encore. Je profitais d’avoir des lunettes de soleil pour me laisser aller à cette contemplation qui me fascinait et m’émoustillait beaucoup. Elle venait sans doute tout juste de s’épiler, je pouvais discerner les moindres détails de sa vulve. Quand elle eut fini de se coiffer, elle étala une serviette sur ses genoux obstruant la vue que j’avais sur son intimité. Mon regard remonta vers ses yeux et j’y devinai de la complicité. Elle resserra les pans de son peignoir et renoua la ceinture. J’étais frustrée, je ne comprenais plus. À ce moment j’entendis des voix derrière moi ; les vieux venaient de rentrer. Je ne les avais pas entendus arriver. Le soir, à la fin du dîner, Florence s’adressa à ma mère : — Demain j’irai faire quelques achats à Saint-Tropez, est-ce que Sylvie ...
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