Florence
Datte: 11/12/2019,
Catégories:
ff,
fépilée,
vacances,
plage,
piscine,
Masturbation
init,
Lesbienne
... veut m’accompagner ? Ma mère me regarda d’un air interrogatif. Cette question était inattendue pour moi aussi mais je manifestais immédiatement mon intérêt. — Bien sûr, je n’y vois pas d’inconvénients, répondit-elle. J’étais ravie. Pour éviter les encombrements et la foule, nous-nous sommes levées de bonne heure et nous sommes parties juste après le petit déjeuner pour faire les boutiques à St-Trop. Nous avons commencé par un magasin de chaussures où Florence s’acheta une superbe paire d’escarpins blancs. Nous avons ensuite lentement déambulé, bras dessus bras dessous, au hasard des petites rues, regardant les vitrines et faisant des commentaires sur les fringues. Devant une petite échoppe, Florence s’approcha d’un portant sur lequel toute une collection de paréos était accrochée. — Sylvie, viens voir, tu ne veux pas en essayer un ? dit-elle en me tendant un modèle aux grands motifs de plantes exotiques dans les tons verts avec une bordure rouge.— Il est superbe, répondis-je. Je commençais à le nouer autour de ma taille tout en cherchant à voir mon reflet dans la vitrine. — Ton tee-shirt noir jure atrocement, enlève-le, dit-elle en en attrapant le bas.— Non ! dis-je en riant et en reculant. Je n’ai rien en dessous.— Pas grave, viens par ici. Elle prit ma main pour m’entraîner à l’intérieur du magasin. Un bref salut à la commerçante et nous sommes entrées dans la cabine d’essayage. Je tirai le rideau derrière nous d’un geste machinal. Les interstices que j’avais laissés de ...
... chaque côté devaient gêner Florence car elle écarta soigneusement les anneaux sur la tringle de manière à ce que le tissu soit parfaitement plaqué sur les cloisons. Pendant ce temps, j’avais quitté mon tee-shirt et je m’apprêtais à nouer le paréo au-dessus de ma poitrine. — Attends, laisse-moi faire, dit-elle. Elle déploya la pièce de tissu aussi largement que l’étroitesse du lieu le lui permettait. Je sentais le frôlement de l’étoffe légère sur mes tétons, ce qui me fit un effet immédiat. D’un geste ample, elle le fit passer derrière moi, je levais les bras et elle ramena les deux coins sur le haut de ma poitrine pour les nouer. Elle arrêta son geste pour considérer mes mamelons tendus. — Ne me dis pas que tu as froid. Sa phrase était presque moqueuse mais le ton qu’elle avait employé était vraiment celui d’une question. J’étais confuse qu’elle ait remarqué mon trouble ; je cherchai vainement à le dissimuler : — Non, c’est pas le froid, je ne sais pas ce qui me fait ça, dis-je en fuyant sont regard. Ce moment a été un des plus intenses de ma vie. D’un doigt sous le menton elle m’a incitée à lever les yeux vers elle. Nos visages se sont rapprochés, nos bras ont enlacé nos corps, nos lèvres se sont jointes, nos langues se sont mêlées. J’ignore combien de temps a duré ce baiser. Quand il a cessé, nous-nous sommes regardées intensément. Nous-nous sommes embrasées à nouveau plus brièvement et sommes sorties de la cabine. — J’aimerais te l’offrir, tu veux bien ? J’acceptai et en ...