1. Cet été là IV


    Datte: 14/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... sourire et l'incitant à y glisser un second doigt. Quelques instants durant Johan me doigta de la sorte tout en m'embrassant. "J'ai envie de toi." Murmura-t-il alors que ses lèvres glissaient dans mon cou. "Tu as planifié tout cela hein?" lui demandai-je et là un peu gêné, il fit un pas en arrière et me murmura que oui, qu'il me désirait, qu'il avait envie de moi depuis cet après midi chez Vincent, que son désir n'avait fait que grandir depuis cet instant et que les fellations que je lui avais prodigué n'avaient fait qu'attiser son désir. Quel fieffé coquin... Enfin je ne pouvais l'en blâmer car à cet instant moi aussi je le désirai. Il me surpris une fois de plus se retournant pour agripper un flacon de lubrifiant, non seulement il y avait pensé mais en plus il l'avait amené en revenant de la buanderie... Il avait donc tout préparé et la ballade dans les tourbières devaient faire partie de son plan pour m'amener ici... En un instant mes mains étaient couvertes de gel lubrifiant que j'étalais délicatement sur sa verge tendue. Le rouquin avait lui même enduits ses doigts et repris son lent et stimulant doigté. Il ne fallut que quelques instant et je me retrouvais appuyé contre la parois carrelée, les bras de mon rouquin autour de ma taille, son corps pressé contre moi. Les bruits si caractéristiques de l'amour, du sexe résonnant dans la cabine. Son bassin claquait contre mon postérieur, ses bourse dans la raie de mes fesses, contre les miennes, Johan donnait de rapides et ...
    ... puissants coups de rein, grognant tout son plaisir à sentir mon anus se resserrer et onduler autour de son sexe. Ses gestes, ses mouvements étaient encore maladroits, inexpérimentés, il se laissait guider par ses pulsions, ses désirs, ses instincts. Il me prit ainsi quelques minutes avant de grogner de toute son forces, se cabrant aussi fort qu'il le pouvait, poussant sa verge au plus profond de moi alors qu'il se mit à jouir, son foutre chaud jaillissant de son méat, se répandant dans mes entrailles. A la façon dont il haletait, dont son corps se pressait au mien et au mots qu'il murmurait il ne faisait aucun doute qu'il avait atteint un puissant orgasme, un plaisir si intense que son corps, sa jeune fougue y était dés lors accros. Moi, j'avais adoré chaque instant, être le réceptacle de sa verge, de son phallus, lui donner autant de plaisir et en retirer le mien. En quelques sorte, nous avions scellé là un pacte, un accord tacite. tout comme pour Vincent je serais le compagnon de jeu de Johan, deux ados échangeant un plaisir mutuel, deux jeunes amis se faisant plaisir d'un commun accord. Il fini par se retirer de moi, poussant un dernier gémissant aux spasmes de mes couronnes rectales. Il m'attira alors hors de la douche et nous nous séchâmes sommairement, ses mains me guidèrent hors de la pièce, vers sa chambre sur son lit. Il se glissa sur moi et nos bras enlacèrent le corps de l'autre alors que nos lèvres se verrouillaient dans un baiser plein de fougue, de désir et ...
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