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Cet été là IV
Datte: 14/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... d'hormones. Le roux donnait de forts et subits coups de reins, écrasant son entrejambe contre le mien, nos sexes badés se frottant l'un à l'autre. Une main entre nos bassins, des doigts refermés sur nos verges gonflées, je nous masturbais mutuellement. Mon ami fini par se relever sur ses genoux et me sourire d'un regard prédateur, plein de désir, de pulsions. Je lui retournais ce regard alors que mes mains agrippaient le dessous de mes propres genoux. En une fraction de seconde mes cuisses s'écartèrent et mes jambes se replièrent, mon bassin se soulevait un peu alors que je m'offrais à lui, prêt et désireux d'être sodomisé pour une seconde fois par cet adorable rouquin. Ses mains vinrent se joindre aux miennes, me maintenant bien ouvert, bien écarté pour lui et il me pénétra de nouveau, laissant ses pulsions, ses désirs, sa fougue le dominer, dicter ses gestes, ses mouvements, ses coups de rein alors qu'il me sodomisait sans retenue avec toute l'ardeur que peut avoir un adolescent plein d'hormones assouvissant ses pulsions sexuelles. Nos gémissions, nous grognions tous les deux d'un intense plaisir, une de ses mains finit par se resserrer autour de ma verge et il me masturbait avec toute la force qu'il me sodomisait. Le bonheur, les sensations étaient trop fortes, trop submergeantes, au bout de deux ou trois minutes je poussais un cri de pure jouissance, des jets chauds de ma semence s'écrasaient sur mon torse et ventre. Mes entrailles, mes parois de chairs se ...
... contractèrent de plus belle autour de sa verge et poussèrent mon étalon roux au delà de ses limites, l'amenant à jouir une seconde fois en moi. L'intensité de la jouissance passée il glissa hors de moi et s'écroula sur le côté, haletant comme un animal à bout de force. Nous restâmes ainsi tout deux de longs instants. Johan fut le premier à parler, il me remercia, me dit ô combien cela était bon, agréable et jouissif, qu'il n'aurait jamais imagé que cela puisse être si intense, si plaisant, si bon, que le plaisir de se branler en comparaison était insignifiant et qu'il désirait que je puisse m'offrir à lui sans retenue. Je ne dis pas un mot mais la façon dont je me glissa au bord du lit, entre ses jambes, la façon dont mes lèvres se refermèrent sur son sexe débandé, dont ma langue tourna autour, se pressant contre, se glissant contre, lui fit comprendre que comme pour Vincent je serais son partenaire de jeux sexuels, d'échanges mutuels et consentants. Il ne put que soupirer des mercis, me flattant de compliments alors que je tétai son sexe et y appeler à nouveau le désir, le sang. C'est dans un doux râle qu'il m'offrit sa troisième et ultime éjaculation. Le retour sur terre fut un peu brutal car à peine mes lèvres avaient-elles laissé glisser à l'air libre sa verge drainée et épuisée que le bruit d'un véhicule dans une allée de graviers nous rappela que ses parents et ses frères étaient de retour. C'est en quatrième vitesse que nous nous rhabillâmes et tant bien que mal descendîmes les ...