La tentation de Jean selon Sainte Lydia
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
boitenuit,
danser,
douche,
amour,
noculotte,
Oral
pénétratio,
... messages, Jean m’avait expliqué qu’il ne comptait pas quitter sa femme, qu’il ne l’a, jusqu’à notre rencontre, jamais trompée, que notre « amitié » devrait rester sans engagement, car il ne pourrait les tenir. À l’époque, cela me semblait simple et évident, maintenant je sens que je m’attache à lui et lui à moi. Mon intuition de femme me dit que nous avons un long chemin ensemble devant nous. En étant si sage au lit, sa femme m’a tracé une voie royale pour le conquérir. Je suis sa seconde femme, en quelque sorte, mais je serai sa première amante. Il finit de se rincer, coupe l’eau et, saisissant une sortie de bain en éponge, me la passe et me frictionne avec douceur. Bizarre, mes seins et mes petites fesses ont droit à plus de sollicitude que mon dos ou mes bras, bizarre… À mon tour, je le revêts d’un peignoir – pourquoi est-il si grand et, moi, si petite ? – et, à mon tour, j’insiste sur des endroits choisis. Il a l’air malin maintenant avec son peignoir qui fait la tente ! Je le mène dans la chambre jusqu’au lit, que j’ouvre en grand, puis me tourne vers lui pour l’embrasser, mais lui, me déshabille, laisse glisser son peignoir et en riant, d’une pichenette, me fait tomber à la renverse. Il se laisse tomber en appui sur les avant-bras, se pose délicatement sur moi. J’aime sentir son poids. Son sexe se poste exactement à l’entrée du mien, je suis trempée de désir, il pourrait entrer d’une simple poussée, mais ce n’est pas de cela dont j’ai envie maintenant. Il m’embrasse ...
... avec douceur, puis avec de plus en plus d’ardeur, je le sens qui s’immisce lentement en moi, j’écarte les jambes pour le recevoir. Je veux tant lui plaire. Le gland est déjà au-delà de mes petites lèvres. Je soupire d’aise, je suis bien. Il m’embrasse les seins, lèche mes tétons d’un mouvement, tantôt circulaire, tantôt de va-et-vient. Cela me donne des sensations dans tout le bas-ventre. Je donne un coup de rein pour l’englober, maintenant je me sens prête à le recevoir en moi, je le veux. Mais le sadique se retire doucement, il continue à m’embrasser les seins, puis descend vers le ventre, léchouille le nombril – hé, ça chatouille ! – pour finir le nez au niveau de ma fleur dont la corolle se déploie, rose tout en contraste avec ma peau brun foncé. Il dédaigne le clitoris pourtant bien visible, il utilise son appendice nasal pour caresser mes lèvres, sa langue taquine l’entrée de mon puits sacré, s’y insinue. — Maintenant, je peux dire que ta fleur a un parfum un peu musqué et un goût à la fois épicé et salé que j’aime beaucoup ! me déclare-t-il tout de go. Sa langue remonte vers mon bouton de rose, mais s’arrête encore. Il souffle doucement dessus, me donne des frissons partout, puis, enfin, le titille doucement, tandis que je sens un doigt entrer en moi, – tiens, un explorateur ! Deux ! Trois ! Quatre ! – je suis grande ouverte. Je gémis, je me tortille, je le supplie de venir en moi. Lentement, il remonte vers moi, ses doigts quittent leur refuge et se posent, un peu ...