1. La tentation de Jean selon Sainte Lydia


    Datte: 15/09/2017, Catégories: fh, couleurs, extracon, boitenuit, danser, douche, amour, noculotte, Oral pénétratio,

    ... gluants, sur mes seins, et agacent une fois de plus mes tétons. Mon odeur est partout. Après une reptation interminable, je le sens à l’entrée. Je ne lui laisserai pas le choix, cette fois. Je le verrouille avec les jambes repliées dans son dos et, en un seul élan, l’enfiche en moi. Je le sens me remplir, je le possède enfin. Il est à moi ! — Mmm, petite vorace !— Sadique ! Mais tu ne perds rien pour attendre ! Je contracte mon vagin autour de son pénis, en lentes, mais fermes ondulations : un secret de famille transmis depuis des générations. Je le vois soudain blêmir : — Merde! Les préservatifs ! Dans le feu de l’action, mon gentleman a perdu le contrôle, c’est trop drôle ! — Rassure-toi, je prends la pilule. Et pour le sida, je viens de refaire le test, je suis séro-négative et comme il y a une éternité que je n’ai plus eu d’amant, c’est sûr à 100%, et je sais que tu es clean aussi, donc no problemo… et ce n’est pas une raison pour débander, ce n’est pas poli ! Ces bonnes nouvelles, un petit massage interne, associé à un baiser langoureux, ont raison de ce petit accès de faiblesse. Je le sens aller et venir de plus en plus vigoureusement, alternant les mouvements lents et rapides. Ses mains se promènent partout, caressent ma nuque, ma chevelure, mes flancs. Il me mordille le lobe des oreilles. J’aime. À chaque retrait lent, à chaque poussée vive et sauvage, je me sens monter vers le nirvana. Ma respiration s’emballe, la sienne devient oppressée. — Viens maintenant, je te ...
    ... veux maintenant ! dis-je avec un murmure, presqu’un râle. Je me sens partir dans un cri, et je le sens pulser en moi, amplifiant encore mon plaisir. Nous sommes enfin amants, le pacte est scellé. Jean reste en moi, m’embrasse le cou, le visage et enfin la bouche. Il est très tendre, ses mains se promènent sur moi. C’est si doux. — Alors, je suis bonne? je lui demande, taquine.— Je déteste cette expression. Mais oui, tu es formidable.— J’ai beaucoup aimé ta façon de me surprendre. Je croyais que tu allais m’embrocher et me pilonner sauvagement. J’aime bien ça aussi, tu sais ! dis-je avec un clin d’œil malicieux. Je sens son sexe s’échapper du mien, ma tentative de le retenir l’expulse. Je fais basculer Jean sur le côté. Et après quelques câlins, nous nous endormons. Nous sommes réveillés par l’appel du souper. Vite, une douche presque sage et nous rejoignons la famille. Mon père est déjà attablé avec son épouse et leurs deux derniers enfants, Sarah, huit ans et Augustin, six ans. Ma belle-mère regarde Jean avec un peu trop d’insistance à mon goût. À trente-sept ans, elle est restée belle, avec les rondeurs des femmes congolaises de sa condition, c’est-à-dire plantureuses. J’espère que Jean n’aime pas les rondes ! Je vois qu’il n’est pas insensible aux deux melons que dévoilent largement les ouvertures de sa robe. Grrr, ces hommes ! Attention, celui-là, personne ne me le prendra ! Après le repas, nous sommes convoqués dans le bureau. Mon père est inquiet pour Jean. Sa société ...
«12...567...10»