Élodie, toi et ta famille je vous adore (2)
Datte: 17/12/2019,
Catégories:
Lesbienne
... Depuis que j’avais appris cela, je me demandais comment il me regardait quand nous étions à table et surtout ce qu’il pensait de moi. Il y a des fois cela me faisait flipper et d’autres fois cela me faisait mouiller. Donc ce matin-là, je m’étais fait réveiller par Caroline, qui m’avait fait jouir pour mon plus grand plaisir, sous les yeux de mon amie Élodie. Nous sommes ensuite passées à table pour le petit-déjeuner, que nous avons pris un peu tard, il y avait énormément de complicité dans nos regards entre filles. À ma grande honte, quand Gilles est passé prendre un petit café avec nous, Caroline lui a tout raconté, j’étais rouge et ne savais plus où me mettre. Il adorait le lycra et se promenait toujours dans des leggings bien moulants à la maison. Caroline n’a pas eu besoin de me donner beaucoup de détails, pour que son sexe devienne tout raide, on voyait vraiment la poutre apparente. J’étais gênée et en même temps impressionnée de voir la taille de ce sexe qui se réveillait, comprimé dans son legging. Quand Caroline m’a surprise en train de mater le sexe de son mari, elle s’est levée et l’a pris par la main et ils se sont approchés de moi. Bien que dissimulé, ce sexe était impressionnant et il s’approchait de moi. Arrivés à mes côtés, Caroline a pris ma main pour la poser sur le sexe de son mari. Il y avait encore une fine épaisseur de synthétique qui me séparait de ce morceau de chair, mais j’en sentais la chaleur et devinais l’anatomie. Élodie me regardait, en me ...
... laissant comprendre qu’il fallait que je me laisse faire, que je me laisse aller, que je laisse Caroline guider les opérations. Gilles était maintenant tellement proche de moi, que je pouvais même en sentir l’odeur intime. Caroline tenait ma main et caressait le sexe de son mari avec, il devait au moins faire vingt centimètres de long et il était de gros diamètre. Ce contact était à nouveau en train de me faire mouiller la culotte, ma douce nuisette en lycra, ainsi que ma robe de chambre. Pendant qu’une main de Caroline me tenait la mienne sur le sexe de son mari, de son autre main, elle me caressait les cheveux puis le haut du corps. Maintenant, l’appendice du mari était à quelques millimètres de moi. À l’odeur, il avait l’air propre, mais il sentait le désir. Quand Caroline a baissé le legging de son mari, son sexe est venu me taper sur le visage, Elodie était très attentive à ce qui se passait. Caroline a saisi le dard de son conjoint pour me caresser les joues avec, et même les lèvres. Ma copine d’enfance s’était rapprochée pour surveiller mes réactions, elle était accrochée au moindre de mes gestes. Finalement c’est Caroline qui a pris les événements en main, en immobilisant ma tête d’une main, et me forçant un peu la bouche de l’autre. J’avais maintenant, la bouche pleine du sexe d’un bel homme, celui du père d’Élodie. Au début j’ai commencé à en redécouvrir l’anatomie avec ma langue, et au fur et à mesure, je laissais entrer le priape dans ma bouche. Moi qui avec Élodie ...