Élodie, toi et ta famille je vous adore (2)
Datte: 17/12/2019,
Catégories:
Lesbienne
... est arrivée, elle a poussé un cri monstrueux avant de camoufler les suivants dans son oreiller. Je ne pense pas que la maison était au courant que Caroline venait de jouir, je pense plutôt que tout le quartier devait le savoir. J’étais mal à l’aise, car du coup Gilles et Élodie allaient savoir que je m’étais occupée de la maîtresse de maison. Je suis restée encore un long moment sous la douce robe longue de Caroline, car je ne voulais pas la laisser comme ça, je voulais qu’elle tutoie un long moment le plaisir suprême. De ses mains, ensuite, elle m’a repoussé la tête, car elle n’en pouvait plus, mes coups de langue devenaient maintenant insoutenables. Une fois ma mission de brouteuse de minou accomplie, j’aurais très bien pu aller passer mon visage sous l’eau, mais j’ai préféré garder ce dernier imprégné des odeurs de la maman d’Élodie. Quand je pense que ma maman s’envoyait en l’air avec elle, je me disais que la boucle était bouclée. Je suis repartie dans ma chambre travailler et réviser comme si de rien n’était. Ce n’est que vers vingt heures qu’Élodie est venue me chercher pour que nous descendions préparer le dîner. C’était le contrat convenu, comme quoi nous faisions le repas le samedi soir, en général on ne se cassait pas la tête, on faisait de la paella en boîte avec une petite touche de personnalisation. Une fois le repas terminé, nous sommes, comme d’habitude, venus mettre devant la télé, mais vu que le programme que regardaient les parents ne nous plaisait pas, ...
... nous sommes montées dans nos chambres. Rapidement Élodie m’a rejointe dans la mienne, et m’a questionnée par rapport aux cris de sa mère tout à l’heure. Je lui ai tout expliqué dans les moindres détails, ce qui bien évidemment l’a excitée, nous avons éteint les lumières assez rapidement, une fois que nous étions cachées sous les draps. Une fois de plus nous nous sommes offert une partie de jambes en l’air d’anthologie avant de nous endormir. Bien évidemment cela sentait bon les minous sous les draps. Au petit matin, alors qu’il faisait encore noir dans la chambre, mais on pouvait largement deviner que le soleil brillait dehors, une douce main est venue caresser nos corps, pour nous réveiller tout en douceur. Comme la veille, la deuxième main est venue me caresser mon abricot tout poisseux de la mouille produite dans la nuit. Caroline était en train de me donner des habitudes, dont on ne peut ensuite plus se passer. Mais là, oh surprise, ce n’était pas Caroline, le parfum était plutôt masculin, c’était Gilles qui était en train de me faire du bien. Je ne le voyais pas, je le devinais, jusqu’au moment où il est venu me rouler une pelle d’anthologie. Rendez-vous compte, je n’avais jamais embrassé ce bel homme, qui accessoirement était le père d’Élodie, par contre je l’avais déjà sucé jusqu’au bout. Comme les mains sont sorties de sous les draps, j’en ai découvert encore plus. Mais ça vous le saurez dans le prochain chapitre, si ce chapitre vous a plu. Je suis très friand de vos ...