Une aventure avec une inconnue de vingt ans mon ainée
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
inconnu,
lunettes,
Collègues / Travail
toilettes,
ffontaine,
facial,
Oral
fist,
fsodo,
confession,
... voulais pas lui dire, mais elle pouvait l’être. D’un coup, elle me remit en bouche en prenant tout mon gland. Elle m’aspirait fortement en gémissant à chaque coup. S’aidant de ses deux mains, elle arriva à m’engloutir plus loin que mon gland, ce que Chéryl et mes autres conquêtes adolescentes n’étaient pas encore parvenues à faire. Sa salive abondante, ses succions, ses coups de tête, aidés par la dextérité de ses mains, ont su me révéler de réelles montées d’excitation. Elle essaya ensuite, de temps en temps, de m’avaler au fond de sa gorge : je sentais mon gland buter contre ses muqueuses. Elle me tirait le sexe des deux mains, en râlant, pour ensuite me dégager subitement comme si elle me vomissait, parfois en toussant, avec de grands filets de bave nous reliant. Puis, elle me reprenait aussitôt en bouche. La salope ne m’avait pas dupé : elle avait visiblement déjà bien pratiqué les pipes sur de gros sexes, et j’en remerciai finalement son Gérard ! En tout cas, ce fut la première fois pour moi où je crus que j’eusse pu éjaculer lors d’une fellation. Quand j’ai senti ma jouissance arriver, j’ai préféré malgré tout me libérer de sa bouche. Je l’ai prise par les cheveux, et je lui ai incliné la tête vers l’arrière. Je me masturbai alors au-dessus de son visage et elle continua à me lécher le dessous du sexe. Je finis par éjaculer une grande gerbe de sperme qui frappa en majorité la paroi de la cuvette des WC, alors que je lui réservais le visage de ma bienfaitrice. Je ...
... redirigeai mon sexe plus bas contre son visage ; mes autres giclées atterrirent sur ses cheveux, ses lunettes et son chemisier. Je la relevai afin de la mettre à ma place, contre la porte. À mon tour, je voulais lui manger le sexe. Je relevai la jupe, déjà bien débraillée, jusqu’en haut de ses hanches. La rouquine avait quitté ses lunettes et s’entreprenait de se dévêtir. Je ne lui en laissai pas le temps : je déchirai d’un coup une ouverture dans son collant et l’agrandit. Elle se laissa finalement faire. Je découvris alors qu’elle portait un string de gamine : il était tout rose avec des bordures rouges ! Trempé, je le tirai vers le bas et me jetai comme un affamé sur sa chatte ainsi découverte. Elle était très odorante et poilue. Quoique cela ne soit pas d’ordinaire à mon goût, la diablesse m’avait tellement excité que je ne freinai pas mon ardeur un dixième de seconde. En outre, je fus surpris et complu de constater qu’elle était déjà très humide, au point que le collant de l’intérieur de ses cuisses brillait de mouille. La situation n’était sûrement pas des plus confortables, mais ma fougue lui plaisait : — Ah ! Ah, mon cochon, tu es impatient… Vas-y, mange-la moi ! Bouffe-la ! Éteins-moi ! Elle m’appuya le nez contre son ventre. Son vagin était ouvert et presque préparé. J’y introduisis facilement, et très vite, plusieurs doigts. Je lui léchais ainsi son bouton tandis que je la fistais sans ménagement, encouragé par les grossières invectives qu’elle commença à vociférer. Tout ...