1. Une aventure avec une inconnue de vingt ans mon ainée


    Datte: 16/09/2017, Catégories: fh, fplusag, frousses, inconnu, lunettes, Collègues / Travail toilettes, ffontaine, facial, Oral fist, fsodo, confession,

    ... en continuant mon traitement, je songeais à l’absurde situation de s’être enfermés à discrétion dans des toilettes pas du tout insonorisées si c’était pour gueuler comme ça ! La rouquine me surprit à nouveau : elle jouit en abondant de la mouille qui en éjecta ma main ; elle se masturba ensuite frénétiquement et en arrosa mon jean et les murs. « Ma première femme fontaine ! », me dis-je intimement. J’en étais ravi, mais de nouveau excité : je voulais la baiser ! Je la déplaçai de côté et relevai une de ses cuisses pour la poser contre la cuvette des toilettes. Je badigeonnai mon sexe de sa mouille et l’introduisis en seulement quelques secondes ! Ce fut trop agréable de pouvoir pénétrer une femme en si peu de temps sans avoir à la préparer d’interminables minutes ! Je conjuguai mes va-et-vient en ouvrant en grand son chemisier. J’y descendis son soutien-gorge pour faire apparaître sa poitrine. Ses seins n’étaient pas énormes, mais ils avaient une taille correcte. Ils étaient blancs, laiteux, avec des tâches de rousseur. Leurs pointes étaient rosées, fines, et très peu aréolées. Je les tétais l’un après l’autre. J’avais aimé son langage cru. On aimait bien ce jeu-là avec Chéryl, mais la voix rauque de la rouquine avait quelque chose de plus. Je la provoquais donc à m’invectiver à nouveau : — Salope, tu m’avais pas dit que t’éjaculais comme ça ! T’es une sacrée salope, tu sais ?— Oui, je suis salope…— T’es une pute avec une grosse chatte… Dis-le !— Oui j’ai une grosse ...
    ... chatte qui dégouline… Oui je suis une grosse pute… Baise-moi avec ta grosse queue mon salop ! Je la pistonnais sans me retenir et cela lui plaisait : elle accompagnait mes mouvements en me tenant par les fesses. Je coulissais tellement bien ! Je sentais son jus couler entre mes cuisses. Mes coups faisaient trembler le mur en placo et ça résonnait de partout ; elle essayait de me contenir : « Doucement ! ». Je tenais fermement sa cuisse et l’embrassais pour la faire taire cette fois-ci. Je ne lâchais pas le rythme pour pousser encore plus vite : elle oublia son affaire et jouit dans ma bouche. Sentant mon tour venir, je me retirai et me masturbai ; je la fis s’asseoir sur la cuvette toute maculée et lui demandai d’ouvrir la bouche où je jouis sans rater ma cible. Elle avala le tout et me lécha le sexe jusqu’à ce qu’il débande. Ce faisant, elle se caressa. Pourtant apparemment rassasié, je lui demandai : — Je te sodomiserais bien…— T’es fou ! Elle regarda sa montre (toute trempée) : — Il est presqu’une heure moins le quart et faut qu’on se change ! Et puis faut qu’on nettoie tout ça ! Elle s’essuya avec le papier toilette et ajusta rapidement son soutien-gorge, son chemisier et ouvrit la porte le cul à l’air ! Elle abaissa finalement sa jupe, toute aussi souillée que le reste, dans l’antichambre des toilettes. Elle finit sa ridicule sortie en regardant à droite et à gauche, à la manière de Peter Sellers ! Je pensais que tout était fini, alors je tentai de me rhabiller. Seul mon ...
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