1. Marthe


    Datte: 16/09/2017, Catégories: fh, inconnu, danser, amour, ffontaine, Oral préservati, pénétratio, fdanus, init, humour,

    ... suis dit : « Tu es complètement pétée, c’est trop gros, ça ne peut pas être son zizi ». À tel point que j’ai avancé la main pour tâter et constater la réalité. Bien sûr, il s’est mépris sur mon geste qui l’a encore excité. Il a entrepris de m’écarter les jambes, avec douceur d’ailleurs, puis de me pénétrer. Là, en même temps que je pensais impossible qu’un aussi gros machin puisse entrer dans mon sexe, j’ai eu la brusque et éclatante révélation de la méthode pour faire les bébés ! J’en ris encore (jaune), de ces deux pensées tellement incongrues. J’ai eu brutalement une telle frousse que j’ai serré tout ce que je pouvais, cuisses, petites et grandes lèvres, vagin, yeux, dents, bouche, pour empêcher toute intrusion. Quant à lui, il était tellement excité, et sans doute en manque, qu’il a éjaculé sur mon ventre, avec des grognements, puis des « sorry » sincères. Inutile de préciser que je ne comprenais rien à ce liquide chaud et visqueux dans mes poils et sur ma peau, et au fait que sa verge (je ne connaissais même pas le mot à l’époque) était à nouveau « normale ». Bert était tout gêné et tout tendre, pensant avec raison qu’il avait fait une piètre prestation, dans son inexpérience. Moi, je ne planais plus et j’avais un peu dessoûlé. On s’est rhabillés et j’ai rejoint Carolyn, sans rien raconter. Bref, je suis restée pucelle sans gloire. Quand j’ai eu dix-neuf ans, mes parents m’ont mariée, sans vraiment me demander mon avis, à un cul-bénit que je ne connaissais pratiquement ...
    ... pas. Un homme grand, beau, vingt-six ans, plutôt riche, un peu autoritaire, un excellent parti, qui saurait calmer mon caractère indépendant. Grand mariage avec beaucoup de monde, messe, orgues, cadeaux (surtout ménagers et électro-ménagers, pas de Kamasoutra ni de vibromasseur), repas pantagruéliques. Pour ma nuit de noces, je peux dire que je n’ai pas été à la noce ! Pierre était sans doute vierge, en tout cas sans expérience, et je le soupçonne fort d’avoir étudié la sexualité grâce à des films pornos. Quand nous nous sommes couchés (dans la chambre de ses parents, prêtée pour l’occasion !), nous étions aussi crevés l’un que l’autre. Mais il tenait bien sûr à « faire le devoir conjugal », comme il disait. Je me suis déshabillée pendant qu’il allait aux WC, j’ai mis une nuisette offerte par ma belle-sœur (moi, d’habitude, je dormais toute nue, ou avec un T-shirt), j’ai retiré ma petite culotte après mûre réflexion, et je me suis mise au lit. Lui, après de longues ablutions, est arrivé en pyjama, a éteint la lumière et m’a rejointe. Je n’en menais pas large, et lui non plus. Il m’a d’abord embrassée sur la bouche, et j’ai mis un moment à comprendre qu’il ne fallait pas serrer les dents. Je ne trouvais pas ça désagréable. Pierre a bonne haleine, et il embrasse bien. Nous n’avons pas échangé un mot. Il m’a embrassé les seins, trop rapidement, mais Dieu, qu’est-ce que c’était doux, puis, sans autres préliminaires, il s’est couché sur moi et a entrepris de me pénétrer, et donc de ...
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