1. Je suis pas malheureuse !


    Datte: 29/12/2019, Catégories: fh, ff, fbi, Collègues / Travail portrait,

    ... main sur sa nuque et pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue entrouvre ses lèvres qui se laissent aller. Je fouille la bouche de Caro et lui mords les lèvres. Je lui retire son chemisier tout en la dévorant des yeux ; elle ne parle pas, moi non plus, la première fois pas besoin de paroles. Je dois juste l’amener doucement vers un nouveau plaisir. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je la soupçonne d’avoir préparé son coup. Du bout de mon ongle, je remonte de la base du sein jusqu’au mamelon. Caroline frisonne. La pointe du sein s’érige et durcit. Je l’attrape et le titille. Mon autre main se glisse entre les cuisses de la jeune femme. Je lui griffe le haut des cuisses avant de poser un doigt sur son sexe humide. Elle dégouline. Elle me regarde gênée puis rapproche sa bouche de la mienne. On s’embrasse à plusieurs reprises. À chaque fois, l’intensité se fait plus forte. Mes mains parcourent son corps. Je cherche son sexe directement. J’ouvre son pantalon. Je bute sur un obstacle de soie. Qu’à cela ne tienne, je me faufile par le côté, je découvre du bout de mes doigts une douce fourrure que je caresse longuement, avant de m’infiltrer entre les lèvres jusqu’à la grotte brûlante qui ruisselle de désir. Malgré le pantalon toujours en place, mes doigts agiles vont et viennent du clitoris jusqu’à l’orée de sa chatte, et le bassin de Caroline commence à ...
    ... tanguer sous mes caresses expertes. Répondant à mon invitation muette qui cherche à accéder librement à son sexe, elle soulève légèrement son bassin, et le pantalon ainsi que sa culotte de soie ne sont que de lointains souvenirs. Elle est nue. Elle est à moi. La vue de ce délicat abricot juteux me fait saliver et je colle instantanément ma bouche sur ce coquillage. Ma bouche s’appose sur son sexe et ma langue vient en elle. Comme une chatte buvant son lait par petits mouvements. Je ruisselle de joie. Je la mange et elle apprécie. Je m’applique autant que je le peux. Mes lèvres enserrent son clito et ma langue le dorlote de subtils mouvements. Je sens la chaleur de son corps. Sa respiration est saccadée, elle pousse de petits cris et une multitude de soupirs qui s’amplifient et commencent à résonner dans l’immense pièce presque vide, ponctuant de quelques coups de reins désordonnés les quelques fois où Caroline tente de reprendre son souffle. Je me déshabille à mon tour et je colle mon corps au sien. Nous ne faisons qu’un. Je la serre contre moi, je veux qu’elle se sente portée par ma force. Enlacées toutes les deux, reprenant notre souffle, elle me demande d’une voix timide: — J’espère que ce n’étais pas juste pour un soir. Tu m’as remuée, tu sais.— Ne t’inquiète pas, cela ne fait que commencer. Sur ces mots, elle s’endort dans mes bras. *** (À suivre) 
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