La goutte de sueur
Datte: 30/12/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
Oral
mélo,
regrets,
occasion,
... menton puis le long du cou avant de se glisser doucement dans le sillon dessiné par les deux globes opulents et bien ronds de sa poitrine. Je suis fasciné par cette gouttelette qui disparait enfin dans la vallée profonde. Mais la suite du chemin est masquée par le chemisier parme de Noémie et je redresse enfin la tête, pour m’apercevoir que ma collègue me regarde, surprise mais souriante. Et je me rends compte du silence pesant qui s’est installé dans la petite chambre d’hôtel. — Je suis désolé, je ne…— Tu n’as pas à t’excuser, ton regard est particulièrement flatteur pour moi et je ne t’en veux absolument pas ! Je ne sais pas comment interpréter les propos de Noémie mais, pour la première fois depuis cinq ans, un véritable désir m’envahit insidieusement et je me retiens pour ne pas me jeter sur elle et la violer. Je suis désemparé devant cette envie violente qui me saisit d’une façon aussi surprenante que brutale. Mais cette poitrine ronde gonfle tellement le chemisier et ces lèvres, colorées de parme comme le vêtement, sont brillantes et tentantes. De façon totalement incongrue, je me demande si les sous-vêtements de ma collègue sont de la même couleur que son chemisier. Comme Noémie n’a pas bougé d’un pouce et qu’elle me regarde maintenant avec un sourire narquois, c’est en tout cas ce qu’il me semble, je me dis que je vais tenter ma chance. Tout en m’attendant à recevoir une gifle, j’approche lentement ma main, déjà sur le recul. Mais elle atteint le chemisier sans ...
... la moindre opposition. — Je voudrais suivre cette goutte d’eau. Pas de réaction ni de commentaire. Le cœur battant la chamade, je dégrafe un bouton supplémentaire du chemisier déjà entrouvert. La goutte a poursuivi sa route dans le sillon et je ne la revois pas. Mais deux oranges rondes et fermes s’offrent presque à mes mains. Noémie ne porte pas de soutien-gorge et la question de sa couleur reste sans réponse. Lentement, j’enlève un à un tous les autres boutons du chemisier, toujours incrédule sur l’accord de ma collègue. Mais elle ne se rebelle pas et j’ouvre entièrement le chemisier pour caresser les fruits gonflés. Les seins fermes frémissent sous la caresse et les tétons épais durcirent quasi instantanément. Je les caresse longuement, d’abord avec les mains. Puis ma bouche aspire les pointes dures, ma langue lèche les courbes. Mon désir violent me fait mal mais je ne veux surtout pas me précipiter car je sais que je ne tiendrais pas longtemps avec une telle envie. Je me laisse doucement tomber de la chaise pour me glisser entre les jambes de Noémie. Je suis maintenant un peu plus confiant car elle s’est laissée faire jusqu’à présent. Mais, au fond de moi, je n’arrive toujours pas à réaliser ce qui m’arrive. Ma bouche remonte lentement le long de chaque jambe, embrassant la peau nue. Je releve la jupe sur les cuisses, découvrant une petite culotte blanche pleine de dentelles. Mais la question de la couleur n’a plus aucune importance pour moi maintenant. Je commence par ...