-
Retour aux sources
Datte: 16/09/2017, Catégories: fh, vacances, amour, volupté, Oral pénétratio, init,
... entendu et c’est dommage, murmure le papé, ça nous aurait rappelé des choses.— Tais-toi vaurien, gronde en souriant son épouse.— Je vais voir si elle est réveillée. Patrice a ouvert la porte doucement. Il se déshabille et s’allonge contre son amie. Il se colle contre son dos et le contact de cette peau douce éveille en lui un désir violent. Il n’ose la réveiller. Dans un mouvement lent, la cuisse d’Audrey se soulève, une main vient saisir la queue et la guide dans la fente. — Doucement, je suis si bien. Il obéit et progresse peu à peu. Sa main empaume un sein bien plein et du pouce en agace la pointe. Elle se laisse faire, savourant ce moment délicieux. Il pousse lentement et bientôt son bassin vient se coller aux fesses bien rondes. Aucun mouvement, si ce n’est la contraction des muscles vaginaux. Cette alternance de contractions et de détente est un délice. Mais bientôt cela ne lui suffit plus. Le conduit est suffisamment huilé et il peut maintenant venir buter contre ce cul si avenant. Elle ronronne, puis gémit et se met elle aussi en mouvement. C’est un galop bref, désordonné, le cavalier parfois éjecté, mais remontant en selle et qui bientôt s’immobilise, soudé contre le dos de sa monture, tous deux jouissant et clamant leur bonheur. — Voilà comment j’aime être réveillée. J’aimerais que ce soit tous les matins, tous les jours, toute la vie. Et soudain, elle réalise le double sens de ses paroles, c’est presque une déclaration d’amour. Patrice aussi sent l’ambiguïté du propos, comprend qu’il n’a pas été prémédité, mais révèle l’état d’esprit de son amie. Ils vont se doucher, descendent déjeuner. Ils sont bien, c’est le début des vacances.