Retour aux sources
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
volupté,
Oral
pénétratio,
init,
... Viens par ici. Il les guide vers l’arrière de la maison, là où se trouve la piscine bordée par une terrasse. Il s’avance vers une chaise longue, tend la main : — Je te présente ma fiancée, nous nous marions en novembre. Patrice s’avance et reste sans voix. Devant lui … Corinne. — Bonjour Patrice, comment vas-tu, depuis le temps que l’on ne s’était pas vus !— Bonjour Corinne. Et il l’embrasse sur les deux joues. Patrice comprend enfin les protestations matinales de son amie. André termine les présentations et les entraîne à l’ombre, vers une table sur laquelle sont posés les apéritifs, où ils se désaltèrent, André propose aux filles de se baigner, tandis que Patrice et lui vont s’occuper du barbecue. Elles s’éloignent un moment et reviennent bientôt. Toutes deux bronzées, magnifiques, vêtues d’un mini bikini et pourtant combien différentes ! Si Audrey, les cheveux châtains courts, grande et mince, évoque la femme telle qu’on la voit dans les magazines, Corinne est plus petite, brune et plus en chair. Mais Patrice la trouve toujours aussi désirable et regrette son départ à Paris qui l’en a séparé. Enfin, c’est la vie, pense-t-il. La soirée se déroule gaiement. André tout à son bonheur, voit déjà Patrice en couple avec Audrey. — Patrice est un très agréable compagnon, mais il n’y a rien de fait, se récrie-t-elle. Je tiens trop à ma liberté ! Sur le chemin du retour, Audrey un peu saoulée par le rosé glacé, babille sans arrêt. — Je comprends pas que tu aies laissé filer un ...
... morceau de roi comme ça ! J’ai bien vu, elle n’arrêtait pas de te lancer de ces regards ! Et toi tu n’étais pas trop bavard.— Oh tu sais, il y six ans que l’on ne s’était pas vu, et elle a bien changé, à son avantage d’ailleurs. Mais pourquoi chercher loin ce que j’ai près de moi ! dit-il en posant sa main sur la cuisse de sa passagère. Quelques minutes de parcours et ils arrivent dans la cour, moteur coupé pour ne pas déranger. À sa descente, le chien vient se frotter contre sa jambe. — Tu vois qu’on est bien gardés quand même. Ils montent doucement à l’étage et entrent tous deux dans la chambre. Dès la porte refermée, elle se retourne et trouve le visage de Patrice contre le sien. Ce sont deux amants expérimentés qui s’affrontent dans une lutte où leurs bouches, leurs langues, sont d’une égale d’habileté. C’est de suite l’harmonie. — Attends que je me déshabille. Lui aussi se dépouille. Ils sont parfaitement bien assortis. Ils font l’amour calmement. Elle se blottit contre lui, détendue, heureuse. Ils s’endorment, ivres de vin et volupté. Quand il se réveille Patrick est d’abord surpris de trouver Audrey à ses côtés, puis il se souvient. Elle est magnifique toute nue sur le drap, la température est telle qu’on ne peut rien supporter. Il va rapidement se doucher puis descend déjeuner. Ses grands-parents sont déjà dans la cuisine. — Alors, vous avez bien dormi ? demande mamé.— Euh, pas trop, dit-il en souriant, nous ne vous avons pas dérangés ?— Nous sommes sourds et n’avons rien ...