1. Examen


    Datte: 04/01/2020, Catégories: fhh, Collègues / Travail médical, cérébral, intermast, Oral pénétratio, double, délire, humour,

    ... Calmez-vous » répétez-vous, alors qu’à l’intérieur de vous, le magma en fusion rêve de faire surface. 151… 147… 144… Olivier est mis dehors. À son tour de grogner. Mais il n’est pas égoïste. Et puis, qui sait ce qu’il a en tête ? Pas moi. Je ne m’intéresse qu’à vous. Libérée et adhérant à ma cause, vous passez une jambe leste, et longue décidément, au-dessus de moi. À califourchon sur la table et sans me quitter des lèvres, vous conduisez le sexe aux veines saillantes à l’intérieur de vous. Aussitôt, les reliefs vous épousent, la longueur vous assaille, effrayante, indicible. Un long frisson vous parcoure. Auriez-vous joui de cette seule intromission ? Je n’en jurerais pas. J’aime vos baisers suaves ; ils sont l’achèvement de votre reddition. À l’arrière de mon cerveau, mon hypothalamus hurle son pouvoir à une foule de neurones ébahis ; il me fait penser à Hitler. "Nous l’avons pour nous seuls !" glapit-il en Führer. Toujours garnie de ses électrodes, ma poitrine s’associe à la vôtre, mes mains prennent position sur vos hanches, vous enfoncent un peu plus encore sur moi, puis glissent sur vos fesses animées d’un nouveau rythme. Nos deux cœurs l’un contre l’autre, le cardiogramme va-t-il s’y retrouver ? 159… 155… 156… « Monsieur V… »Vos lèvres ne prononcent plus rien d’autre. Votre visage mêle de drôle d’expressions : inquiétude, excitation, tendresse.« Monsieur V… »Votre main gauche s’est posée tout doucement sur ma hanche. Elle tremble. Elle hésite puis se décide. En ...
    ... prenant bien garde de ne pas toucher le phallus infernal, elle abaisse mon slip de plusieurs centimètres, achevant de mettre à jour mon érection. Je gémis. La marque de l’élastique est presque mauve sur la peau lisse. Je prends soudain conscience que ça faisait un mal de chien. Vous observez la queue meurtrie, vos ongles grattent ma peau en marche arrière, viennent se mettre à l’abri à hauteur de nombril.« Monsieur V… »Votre voix est lointaine, comme fatiguée.« Vous devriez jouir. »« Mon récit n’est pas fini » vous dis-je. 152… 148… 140… Notre étreinte n’est pas finie. Je suis en vous et je n’ai pas l’intention d’en sortir. C’est trop agréable, trop en partage. Le temps s’échappe… puis nous rattrape d’un coup ! J’avais oublié Monsieur Gentil. Pas lui, pas mon hypothalamus. Le bon assistant se rappelle à vous en particulier. Il est derrière vous, s’est posté assez discrètement entre vos fesses que je tiens toujours écartées. Vous n’en prenez vraiment conscience que lorsque son gland déjà a forcé l’étroiture de votre anus. Un râle vous échappe mais vous le laissez faire car cela aussi, vous en rêviez, plutôt deux fois qu’une. Vous forcez vos entrailles à laisser passer l’intrus, vous abaissez vos barrières, distendez vos chairs en ouvrant votre esprit. Je le sens à mon tour, fort, de l’autre côté de la paroi. Etrange sensation. J’accorde mes mouvements et les accentue : une sorte de concurrence s’installe dont vous profitez follement, pas si victime que ça. Que dirait votre pouls au ...
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