La Belle des années folles - 2
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... certains moments comme ceux qu'elle avait connus autrefois. Mais ici, avec ces deux vieux, peu de chance que cela n'arrive... Et paradoxalement, le fait de se promener dans la rue et de croiser des gens de toute nature et de toute espèce, augmentait encore ce manque, puisque dans son inconscient, il y avait tant de personnes ''disponibles'' à portée de la main. D'ailleurs, c'était souvent en revenant de ses promenades qu'elle montait rapidement dans sa chambre, qu'elle s'allongeait sur le lit. Et là, soit en se branchant directement sur ses fantasmes, soit en s'excitant plus indirectement par la lecture des textes ou la vue des photos et dessins qu'elle avait subtilisés à Mademoiselle, elle se masturbait jusqu'à la jouissance. Ces textes et ces dessins, elle les connaissait par coeur et dans les moindres détails, mais il n'empêche qu'elle y avait souvent recours, comme un support concret qui la ramenait à des épisodes marquants de son ancienne vie, Elle se rendait bien compte elle-même que les jours où elle avait recours plusieurs fois, à la masturbation parfois jusqu'à trois, voire quatre fois dans une même journée , ce manque se faisait de plus en plus sentir. D'où elle habitait elle avait depuis longtemps très bien repéré l?endroit dont il était question dans l'histoire contée dans les pages arrachées qu'elle avait prises à Gerboise. La boîte en question était située un peu plus haut dans le même arrondissement, le 9ème, dans le quartier de Pigalle et la Place Blanche. ...
... Jusque-là, elle n'avait pas pris le temps d'aller voir ce lieu plus précisément. Ce n'était pourtant pas l'envie qui lui manquait mais il faut bien avouer qu'elle n'osait pas y aller ; elle ne s'en accordait pas le culot. Et puis surtout, c'est la peur de l'inconnu qui l'empêchait d'aller affronter seule ces lieux de libertinage, Un soir pourtant où l'envie de se faire baiser, la tenaillait un peu plus fort que d'habitude, elle n'y tint plus et quand ses patrons se furent endormis, elle sortit en ville, seule, sur le coup de 10 heures du soir. C'était une soirée chaude de printemps où la chaleur de la journée remonte de la rue en bouffées tièdes. Les arbres laissaient éclater leurs bourgeons et leur feuillage tendre avait une odeur persistante que Jeanne, venant de la campagne connaissait bien. L'air chargé de tiédeurs, remontait des trottoirs sous sa robe et venait caresser ses cuisses. Elle avait pris soin d'enlever ses bas se donnant comme raison qu'il faisait bon et doux ce soir, et elle avait également pris ce jour-là une culotte très ample qui ne collait pas à ses cuisses, mais au contraire lui laissait un large espace à la jambière (photo 1). Ces culottes à l'époque, étaient fendues au fond sur quinze bons centimètres ; ainsi quand la femme s'accroupissait pour uriner, la culotte s'ouvrait d'elle-même, ce qui permettait de pisser sans aucun problème, juste veiller à relever la jupe qui se portait généralement longue à cette période. Depuis qu'elle était à Paris, Jeanne ...