La Belle des années folles - 2
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... avait découvert les culottes de femmes de diverses formes et de textures différentes, en coton, en finette, et même en soie. Elle prenait souvent les culottes plutôt fines et soyeuses que sa patronne avait conservées bien que celle-ci ne les mette plus, sans doute depuis longtemps (photo2). Elle se plaisait à les essayer devant la glace de sa chambre, parfois même elle avait un plaisir très spécial à se branler dedans. Elle se caressait directement le pubis sur la culotte, ou bien par la fente de celle-ci, se frottant énergiquement le clitoris et les petites lèvres. Ainsi revêtue de ses belles culottes, elle éprouvait un plaisir extrême à se faire décharger. A cet instant, elle s'accroupissait, la culotte fendue s'ouvrait et elle giclait à fond sur le vieux parquet de sa chambre, arrosant au passage les bords de la culotte de Madame. Ensuite elle retirait la culotte pour la renifler et même parfois de la goûter à coups de langue rapides. Ce soir donc, elle sentait l'air passer le long de ses cuisses, par le côté de la jambière, remonter jusqu'à l'aine et même s'insinuer jusqu'à sa chatte. Cela la faisait frémir et trembler d'aise. Elle eut brusquement envie de s'appuyer à l'intérieur d'une porte cochère et se donner furtivement et très vite du plaisir. Elle résista. La nuit tombait doucement sur les façades des immeubles estompant les détails et les formes, les becs de gaz commençaient à percer çà et là l'obscurité naissante. Jeanne marchait doucement avec application, ...
... appuyant ostensiblement chacun de ses pas sur le pavé, comme si elle voulait retarder le moment d'une découverte importante pour mieux en savourer l'instant. Arrivée au bout de la rue de Châteaudun, elle traversa la place d'Estienne d'Orves, passa devant l'église de la Sainte Trinité. Elle aperçut en face la gare Saint-Lazare qui jetait tous ses feux, puis elle tourna à droite rue de Clichy, qu'elle commença à remonter en direction de la Place du même nom. Elle sentait les gouttes de sueur perler sur son pubis et sa vulve devenir moite. Etaient-ce les efforts de la marche qui la mouillaient ainsi ou le sentiment d'une totale liberté de sortir enfin pour connaître l'aventure, la vraie, un soir de printemps, seule dans Paris. Cette pensée la fit frissonner. Elle sentait la sueur en abondance maintenant, non seulement dans son entrecuisse et entre ses fesses devenues moites, mais également dans le creux de son dos et dans le sillon de ses jolis seins. La nuit était presque tombée. Des fiacres montaient en toute hâte dans des claquements de fouets, les chevaux martelant les pavés luisant d'usure. Elle croisait des hommes qui descendaient de la place et marchaient d'un bon pas. Un couple visiblement un peu éméché, la femme riant de façon vulgaire et excessive, la heurta sans s'excuser et continua en tenant toute la largeur du trottoir. Au milieu de la rue, vers la rue de Liège, des rumeurs de bars et cafés lui parvinrent. Puis, se furent des remugles d'alcôves et de renfermé qui ...