1. Einstein (13)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Zoophilie,

    Escale de voyage ! Elle avait enfin fini sa miction et puisqu’ils étaient sous la douche, autant en profiter. Lentement, Victor s’était relevé et glissé avec elle sous l’eau dégoulinant de la pomme bien réglée. Cette fois elle refusait son baiser pour d’évidentes raisons. Alors sa douche terminée, il s’était revêtu et repartait chez lui. Il savait que c’était un retour définitif. S’il avait caressé l’espoir d’aller plus loin, celui-ci s’était évanoui avec son fantasme réalisé. Quelque part il devait y penser longtemps. Mais pour Maryse, il devenait impossible de continuer avec cet homme-là. Les quinze jours suivant cette fameuse soirée, elle passait le plus clair de son temps seule avec son chien, sans pour autant essayer quoique ce soit avec lui. Là encore un malaise entachait la relation entre l’animal et elle. Bien entendu il ne savait pas faire la différence lui entre le bien et le mal, donc dans la jolie tête de la brune, un déclic lui rappelait que c’était bien son devoir de ne pas insister. Les derniers jours de ce mois ensoleillé apportaient aussi leur lot de surprises. Tout d’abord, le pavillon qui jouxtait le sien venait de voir ses volets s’ouvrir après presque une année sans vie à l’intérieur. Einstein allait trainer de plus en plus souvent le long de la haie qui séparait les deux maisons. Il ne pouvait pas passer dans les ifs qui la formaient parce que le propriétaire précédent avait fixé une sorte de grillage, surement pour empêcher l’escapade de ses animaux. ...
    ... Mais Maryse se doutait bien qu’il devait se trouver de l’autre côté quelque chose d’assez spécial pour attirer ainsi l’attention de son chien. Un matin, des rires fusaient qui ne laissaient planer aucun doute sur l’âge d’une partie des occupants de la demeure. Des enfants... et un grand coup au cœur de la brune qui n’en aurait jamais. Un coup de vieux également en songeant à cela et le spleen qui revenait lui rappeler une solitude pesante. La vie était parfois dégueulasse, mais que pouvait-elle bien y faire ? Les larmes un instant au bord de ses yeux, n’y changeraient rien. Mais le coup pris s’avérait plus rude cette fois. Un soir, alors qu’elle sortait le chien, le tenant en laisse pour les endroits habités, elle croisait le voisin. Il était bien comme elle l’avait imaginé, enfin presque. La conversation engagée, il flattait l’encolure d’Einstein, en lui parlant doucement. Puis s’adressant à sa maitresse, elle s’apercevait qu’il avait une voix très douce. — Il est beau votre chien. Hein ! Mon garçon, tu es magnifique... comme ta maitresse du reste. Maryse avait souri devant cette forme de flagornerie désuète. Elle apprenait ainsi du monsieur qu’il venait de divorcer et qu’il avait deux enfants, âgés de douze et dix ans. Deux filles qui vivaient avec leur maman à quelques kilomètres de là. Elle l’avait de prime abord jugé plus vieux, mais quand il annonçait trente-sept ans, elle se disait que c’était dans l’ordre du possible. Il l’invitait à prendre un café, mais méfiante, elle ...
«1234...»