48 heures (2)
Datte: 17/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... éviter d’inonder ma chaise. L’orgasme vient doucement, irrépressible, incontrôlable. Je sais que je ne pourrais pas masquer les symptômes de la jouissance sur mon visage, et j’essaie de le cacher tant bien que mal derrière mon magazine. Je contracte les muscles de mon minou, et soudain, je jouis. J’arrête de respirer. J’ai mis ma main dans ma bouche pour ne pas crier. Tout mon corps se raidit, tétanisé. De petits jets de ma sève giclent de ma fente, sans que je puisse être sûre que la serviette suffise à les absorber. Malgré ma honte, je baisse ma revue, et j’aperçois mon étudiant qui ne se cache plus pour me regarder, les yeux agrandis par l’incrédulité. Sa main gauche est sous la table… Précipitamment, je me dirige vers les toilettes. Là, je m’enferme, et je retire doucement les boules de geisha de mon petit coquillage rose, inondé. J’ai du mal à reprendre mon souffle. Ma serviette de table est trempée, poisseuse, et je la jette dans la poubelle. Mais elle n’a pas suffi, pour m’éviter de tacher ma jupe. Je ne peux décemment pas aller faire cours dans cette tenue ! Je regarde ma montre : j’ai juste le temps de retourner chez moi pour me changer. Lorsque je reviens dans la salle pour régler mon addition, je suis soulagée de constater que mon jeune et timide admirateur est déjà parti. Je crois qu’il se souviendra longtemps de cette journée ! Bref passage chez moi, où j’enfile une petite robe d’été. Puis, direction la fac. J’ai un peu de mal à me concentrer sur mon cours. ...
... Avant de quitter l’amphi, je rédige discrètement un message très court, que j’envoie à Juliette, et j’essaie de l’imaginer, me lisant. Elle aussi doit se faire jouir, et je suis certaine que le simple fait de voir mon nom dans sa boîte de réception la fait mouiller… Rapidement, je ramasse mes affaires, et je m’excuse auprès de mes étudiants de ne pas rester, pour répondre à leurs questions, comme je le fais habituellement. Un rendez-vous important. S’ils savaient… Je remonte en voiture, et je tempête contre les travaux de la nouvelle ligne de tramway, qui provoquent des embouteillages monstres. Il me faut près d’une heure pour arriver chez moi… Le scénario qui m’attend maintenant est le premier qui m’est venu à l’esprit, quand Juliette m’a proposé son défi. Par le passé, lors de jeux de soumission qu’elle m’imposait en chattent, elle m’avait obligée à me caresser sur ma terrasse, nue. Mais il faut dire que je m’étais exhibée alors à la tombée de la nuit, et que le risque d’être vue était plus limité. De plus, on me distinguait moins nettement dans la pénombre. En dehors de ces jeux, aux beaux jours, je bronze aussi assez souvent sur cette terrasse, d’ailleurs peu exposée aux regards – même si les occupants de certains appartements doivent pouvoir me voir. Je n’hésite pas à me mettre en string, seins nus. Après tout, à la plage, j’en montre autant… Alors, aujourd’hui, je n’ai pas la moindre appréhension. Juste un désir fou, celui de plaire à Juliette et de lui obéir. Dans l’entrée ...