1. 48 heures (2)


    Datte: 17/09/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... de mon appartement, j’enlève déjà ma robe. Je file dans ma chambre, la jette sur le lit, et j’ouvre un tiroir de ma commode, où sont rangés mes maillots de bain. Je prends un string, minuscule, qui fait ressembler le bikini que j’ai porté à la piscine à un maillot de grand-mère, et je l’enfile. Puis, je prends au passage mon ordinateur portable, et je fais glisser le vantail de la grande baie coulissante. La lumière qui enveloppe mon corps quasiment nu, et la bouffée d’air chaud qui le brûle, font darder mes petits seins. Je m’installe sur un bain de soleil, et j’ouvre mon ordinateur, que je pose sur une table basse, à ma droite. Je recherche quelques courts instants dans les archives de ma messagerie, pour trouver le dossier "Juliette", dans lequel j’ai rassemblé les centaines de mails que nous avons échangés, et nos chats torrides. Puis c’est au tour des photos de Juliette, regroupées elles aussi dans un dossier images. Étendue, le buste relevé en appui sur mon coude, je fais défiler nos conversations, de plus en plus chaudes, au fil du temps. Les récits, dans lesquels nous avouions avoir cédé aux ordres de l’autre, nous exhibant, ou pire. Et ces photos, qui venaient illustrer notre appétit de sexe, la fierté d’être indécentes… Tout en pianotant d’une main sur le clavier, la pointe de mes doigts caresse mon mont de Vénus, à travers le mince tissu de mon string. Ma respiration s’accélère déjà, et mes tétons dressés trahissent l’excitation de l’attente. Et quand j’écarte le ...
    ... petit triangle de lurex, mon index trouve ma fente entrouverte et humide. Je n’ai plus besoin de lire nos mots, ni de regarder nos photos. Le train infernal du plaisir est lancé, et va me faire faire n’importe quoi, jusqu’à oublier la présence éventuelle de voisins, aux fenêtres de l’immeuble d’en face. Je m’étends complètement sur le dos, en m’abandonnant, et en laissant pendre de chaque côté du bain de soleil mes jambes écartées. Les souvenirs de la journée défilent dans ma tête, se superposant à des images dans lesquelles je vois Juliette, nue, en train de se faire jouir. Elle aussi pense à moi, j’en suis sûre, quand elle gicle au plus fort de l’orgasme. Je ne crois pas qu’on puisse imaginer, sans l’avoir connu, ce plaisir, cérébral, naissant de la réalisation de nos fantasmes communs, ou de la soumission à l’autre. Mes mains sont maintenant sur mes seins, et sur ma chatte. Je pince mes tétons, je les tire. J’écarte mes grandes lèvres, pour ouvrir grand mon petit coquillage rose, ourlé de gouttes de cyprine. Même ce petit string est de trop. D’un geste rapide, je dénoue les liens, et je le jette loin de moi, sur la terrasse. Je suis nue. À poil. Sans pudeur. Et je recommence à me caresser. Mes doigts plongent dans ma fente affamée, et commencent à aller et venir, dans un bruit humide suggestif. Je coule comme une fontaine, en tordant les pointes sensibles de mes petits nichons gonflés. Je relève la tête une seconde, et j’aperçois un homme en face, à sa fenêtre. Loin de me ...
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