1. B o d’y and soul


    Datte: 18/09/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    Mon mari est jaloux. J'essaye tant bien que mal de lui refuser des raisons de l'être. Souvent par dépit et pour le moquer je lui balance qu'il n'aurait tenu qu'à lui de choisir une nana moins roulée que moi. Je l'avais subjugué de la sorte. Il avait craqué sur mes longues jambes, mon cul et mes talons aiguille. Il devait bien se douter qu'il ferait des jaloux en faisant ainsi ma conquête. On ne possède pas impunément un trésor. C'est un souci de tous les jours que la garde autour de lui. Je lui dit qu'il était hors de question que je renonçasse à mon style. J'étais pour ainsi dire née comme cela.Il est vrai que depuis le plus tendre âge j'ai toujours recherché ce miroir tendu qu'est l'admiration des hommes. Je fonds comme glace au feu de leur convoitise. Il n'est point de doute ni d'équivoque lorsque nos regards se croisent. Je sais qu'au tréfonds je suis une garce. Il ne me déplaît pas qu'un homme me perçoit sous ce jour. J'augmente l'ire des autres femmes ce qui ajoute à mon plaisir. Le terme récurrent de pute revient dans la conversation de mes rivales. Certains jours cependant je suis blessée d'une telle réputation. Je me dis que dépassant la trentaine je devrais me ranger.Un temps et après avoir eu le premier gosse, je cru que le moment de la sagesse était venu. On eût dit un fumeur prenant alors de bonnes résolutions. Pourtant je me battis bientôt contre les quelques kilos échus de la grossesse et je recherchais immanquablement le regard des hommes afin sans doute que ...
    ... ceux-ci me rassurassent sur mon sex-appeal imperdu. Je fus vite rassurée. Je me souviens qu'un ex après que l'eus sucé dans sa bagnole, me dit : « T'es encore plus salope. J'adore tes formes plus arrondies. T'es bandante au possible ». Ces compliments m'allèrent droit au cœur.En tout cela j'avais perdu mon boulot de secrétaire de direction. Celui-ci relevait du CDD. J'étais maîtresse du patron. Ma grossesse éventa tout mon charme et une autre garce fut élue à ma place. Comment remonter sur un cheval après en avoir chu ? Les deux premières années accaparée par le môme et donnant un coup de main au beau-frère sur les marchés, je parvenais à faire entrer quelques en notre foyer et à me désennuyer. Ce temps de loisir voire d’oisiveté me ramenât vite au vice. Je me souviens notamment que j'attirais immanquablement les compliments sur le marché.Mon beau-frère ne me cachât pas qu'il devait m'avoir à l’œil et devait écarter les importuns. Avec un tel chaperon j'affectais d'être sage ou du moins de développer nombre de ruses pour sourire à des hommes voire à accepter en catimini avec eux de prendre un café. Je n'y voyais guère à mal au début. Pour la plupart ceux-ci n'étaient guère des Apollons. Plutôt des prolos et dans la cinquantaine et que la vie avait usé prématurément. Je les trouvais émouvant en même temps que leur physique buriné recelait pour moi le charme d'une certaine virilité. En tout cas la jolie garce les faisait rêver.Je ne sais pourquoi mais je crus devoir bien faire ...
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