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B o d’y and soul
Datte: 18/09/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
... mes amants que nous devions stopper nos fantaisies. Je tins à en informer Armand. Je ne lui parlais cependant que de Paulo taisant Karim et les autres. Je vis que cette information le contentait. Je rentrais dans le droit chemin. Il avait la preuve qu'il avait sur moi une influence bénéfique. Un jour par plaisanterie il me dit : « Si d’aventure tes fesses te persécutent tant, tâche du moins de choisir mieux ton amant. » Bref je méritais mieux que l'inepte Paulo.J'étais niaise et ne vis rien à redire à ses paroles et actions. Tout autre eût deviné son intérêt voire sa convoitise pour moi. Un jour par SMS il m'avisât qu'il voulait partager son café avec moi chez lui. Je brûlais d’y aller depuis longtemps et d'y découvrir mieux son univers. Je n’avais jamais osé lui confesser mon envie. J'y vis le signe qu'il voulait raccommoder et fortifier notre amitié. Je ne sais pourquoi en ce début d' après-midi je vins à m'apprêter tel une garce comme si j’allais rejoindre mon amant. Sous un manteau j'étais en minijupe juchée sur mes talons et maquillée tel une pute.Armand ne parut pas trop étonné de ma vêture. Nous fîmes le tour du propriétaire. Un luxueux pavillon. Je fis la connaissance du chien et des deux chats qui lui tenaient toujours compagnie. En ce contexte je découvrais cependant un autre homme. Il était plus riant. Ses gestes plus souples et félins. Il semblait affecter d’une étonnante jeunesse. Son ton était décidé et son regard plus dur et brillant. Un instant me ...
... demandais-je si c'était le même homme. Nous dégustâmes un bon café avec un cake délicieux. Je ne sais pourquoi il m'enjoinstà partager avec lui de peu de son Cognac.L'avait-il fait exprès ? Quoiqu'il en soit la tête me tournât bientôt. Je sais par ailleurs les ravages que cela fait dans ma libido. Je suis plus vulnérable que jamais. A ma souvenance nombre de détails aujourd'hui m’échappèrent. Je me rappelle que nous consultions ses albums photos. Il était sur le divan fort rapproché de moi. La conversation roulait sur l’ambiguïté des sentiments entre les hommes et les femmes. Il dit à un moment sentencieusement. « Je ne crois pas à l'amitié homme-femme. » J'étais déçue car cela contrevenait à la pureté et noblesse de notre relation. Je protestais.Pour me faire taire ou à titre de démonstration il apposa alors sa main sur une de mes cuisses. Je souris prenant cela comme une blague. Il commença à me caresser me fixant durement au travers des yeux. Puis je vis sa main se hasarder résolument sous la minijupe parvenant sans à la culotte. Machinalement et parce que j'étais sous le coup encore du Cognac j’écartais alors les cuisses lui livrant impunément ma chatte. Il se jetât alors sur moi et m'embrassât. Je crus devoir avec autant de fougue lui rendre ses baisers. N'usait-il pas de moi comme les autres. Rien d'offusquant à cet égard.Tout se précipitât alors. Tout au fait d'un rôle de putain je fus bientôt agenouillée devant lui à le sucer. La partition m'était familière. Je déroulais. Nous ...