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B o d’y and soul
Datte: 18/09/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
... enfants vivaient à l’étranger. Ils n’échangeaient avec eux que de loin. Il se sentait vieux à présent. Tout cela m'émut. Je protestais. Lui aussi pouvait encore trouver satisfaction à cette vie. Je vis ses yeux mouiller. J'entrevis que la vaste culture de cet homme ne le consolait pas. Mon beau-frère me confirma que cela avait été un homme brillant. Qu'il avait été riche. On l'avait trahi et ruiné et il se trouvait maintenant là à vivoter sur les marchés. J'en voulus savoir davantage de lui et de son destin.Il me dit avec un sourire triste que tout cela ne méritait pas un roman. Il ne m'en contât pas moins des bribes de son existence. Cela achevât de me l’attacher. Finalement nous avions tous deux des vies malheureuses. Une solidarité s'instaurait entre nous. Puis sil y eût ce fameux incident. Je vous l'ai dit je n'étais pas devenue pour autant une sainte. Mon bonhomme me baisait bien mais je ne répugnais pas des fois à quelques extras. Je cédais impunément à la tentation. Tout cela à l'insu du beau-frère. Ainsi Karim un beau gosse maghrébin me limait en vitesse à l'arrière de son camion.D'autres fois je suçais idem en son camion un autre ami, Paulo. Un quadra auvergnat qui avait le don de me fait rire et de réjouir mon humeur. L'un l'autre me considéraient tel une bonne amie et n'eurent jamais des mots de mépris qui pussent me faire entendre qu'il me considérait comme une salope. Bref en toute innocence prodiguais-je autour de moi ce genre de plaisirs. J'avais demandé à ses ...
... amants de fortune de n'en jamais parlé devant le père Armand cependant ils crurent devoir se vanter auprès d'autres de leurs bonnes fortunes. Bref un jour au bistrot l'ami Armand fut informé.On me rapporta qu'un pochtron lui dit à peu près : « T'as l'air bien avec la petite. Elle te suce elle aussi dans ton camion ? » Ledit Armand sans se démonter ne laissa rien paraître et fit parler l'ivrogne pour savoir qui usaient de mes prodigalités. Il m'épia et me surprit un jour au sortir du camion de Paulo. J'avais encore un peu de foutre dedans ma bouche. A la mine de mon ami Armand je sus qu'il savait. J'étais rouge et confuse. Il tint à me rassurer. Il ne me cafarderait pas et néanmoins il était déçu que je fis ma garce tel la Emma Bovary. Je méritais mieux que cela.J'eus peur qu'il m'enlevât son amitié. J'essayais d'inventer un conte du genre que Paulo m'avait rendu un grand service et que j'avais du lui concéder un peu de ma vertu. J'insistais et précisais que cela n'était pas allé au-delà d'une petite gâterie. Armand manifestement ulcéré me confirmât que je n'avais point à me justifier devant lui. J'étais libre et pouvais disposer comme bon me semblait de mon corps. Il n'avait aucun droit sur moi et ne me jugeait pas. Soudain prise de sanglots je protestais que je ne voulais pour rien au monde perdre son amitié. Il m'avait changé en mieux.Nous conservâmes notre rite au café en affectant de parler entre autres littérature mais le cœur n'y était plus. Entre temps je signifiais à ...