1. Section TG (17)


    Datte: 14/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... chatte. Et applique-toi. Je me mis à genou sur le carrelage. Elle posa son pied sur mon épaule, comme pour assoir son autorité et son emprise sur moi. Finalement, ma couverture pute de service, corvéable à merci, était particulièrement réussie. Ce cunnilingus était bienvenu. Ça me changeait des queues et des bites que je suçais ou qui me culbutaient. Si Ludmilla n’avait pas de poitrine, elle avait une chatte particulière : des lèvres presque pendantes et surtout un clitoris proéminent, presque un petit pénis. C’était bien la première fois que j’en voyais un de telle sorte. Je le suçai avidement ce qui fit jouir Ludmilla. Pas de grands cris, tout juste des couinements mais sa façon de me plaquer la figure contre sa motte et le jus qui coulait de sa fente témoignaient de son plaisir. La jouissance passée, elle se rinça et partit s’habiller. — C’est vrai que Ludmilla a fait partie des commandos russes ? demandé-je à Anton après avoir subi un ramonage en règle. — Oui c’est vrai. Mais elle n’aime pas qu’on en parle. — je m’en suis rendu compte. — Tu lui as posé la question ? Et elle ne t’a pas tuée ? Elle a été une des rares femmes, sinon la seule à suivre l’entrainement des Spetsnaz. Elle a réussi aussi bien que les hommes. Mieux peut-être parce que c’était ...
    ... une femme. Mais lorsque qu’elle est arrivée dans son unité, tous les mecs l’ont baisée. Elle a pris ça comme un bizutage. Sauf que ça a continué ensuite. Elle a en eu assez. Elle a arraché les couilles, au sens propre, d’un des mecs et elle a démissionné. Bien sûr, il y a eu enquête. Il n’y a pas eu de poursuite. Mais elle a su plus tard que son unité avait été affecté à des missions presque suicides. Depuis, elle vend ses services aux plus offrants. Et elle a les hommes en horreur. C’est ce qui l’a fait devenir lesbienne. — Je vois. Merci. Et toi, comment tu es arrivé en France ? — Assez de questions pour ce soir. Bonne nuit, dit Anton en se retournant. Mais reste, s’il te plait. Son histoire, et celle de Sergeï, je la connaissais. Elle était dans le dossier que l’on m’avait donné au début de la mission. Tous les deux sous-officiers dans l’armée yougoslave, ils apprennent que leur familles ont péri dans un bombardement. Ils quittent l’armée pour rejoindre les milices serbes avec lesquelles ils se livrent à plusieurs massacres mais sans qu’on en ait la preuve formelle. A la fin du conflit, n’ayant rien qui les retienne, ils quittent le pays pour s’installer en France. Ils montent une société d’export-import qui leur sert désormais de couverture à leur trafic. 
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