La joueuse invétérée
Datte: 18/09/2017,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
jeunes,
ascendant,
Collègues / Travail
bizarre,
école,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
dispute,
miroir,
Masturbation
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
sm,
BDSM / Fétichisme
policier,
Maudites soient ces cartes qui ont fait de moi leur esclave ! Les haubans des voiliers du vieux port de La Rochelle claquent comme les gifles que je voudrais m’infliger. J’avais un jeu d’enfer : une quinte flush au roi, la combinaison presque parfaite, de celle qu’on ne voit qu’une seule fois dans sa vie, et encore, sans garantie ! J’ai cru que la Chance, avec un grand C, venait enfin d’effleurer ma main qui a saisi ces étranges rectangles de carton. J’ai ressenti jusqu’au bas de mon ventre le frisson délicieux, mais qu’il ne faut surtout pas trahir. L’orgasme du jeu, plus violent que celui que procure tout attouchement. Seulement, j’étais presque à sec, et même annoncer « tapis », pour miser l’ensemble de ce qu’il me restait, ne m’aurait qu’à peine renflouée. Avec une quinte flush au roi ! Tranquille, j’ai proposé n’importe quoi aux trois autres : — Tout ce que vous voulez. Dis-moi. Elles m’ont regardée d’un drôle d’air. Elles se sont chuchotées à l’oreille, avec un air entendu, en hochant la tête. À l’issue de cette drôle de messe basse, Anaïs m’a proposé : — On veut ton fils.— Pardon ? Vous voulez Quentin ?— Oui.— Et qu’est-ce que vous lui voulez ?— On veut faire avec lui… des choses excitantes ! Très excitantes ! J’ai haussé les épaules. Quentin est un garçon sage qui vient d’avoir dix-huit ans et qui passera bientôt son bac pour entrer à la fac de lettres où j’enseigne. Probablement puceau – en fait, j’avoue que je n’en sais rien, parce qu’il ne me raconte pas toute ...
... sa vie, vu que son caractère est plutôt taiseux. De toute manière, avec la main en or massif dont je disposais, il n’y avait aucun danger que je perde sur ce coup-là. Anaïs m’a donc avancé les 6000 euros qui me manquaient pour rester dans la partie, et même effectuer une solide relance qu’elle a suivie sans hésiter. Quand Anaïs a abattu sa quinte flush à l’as, c’était comme si le ciel étoilé s’abattait sur ma pauvre tête. J’étais foudroyée par le destin trois fois maudit des cartes. — Il a l’air bien mignon, ton fiston, a-t-elle dit en regardant la photo que j’avais extraite de mon portefeuille au moment de ce stupide pari. Et pour cause, il est mon seul enfant, mon fils chéri, celui que j’ai fait toute seule, parce que je n’aime pas les hommes, alors j’en ai trouvé un juste pour un soir, un bon copain prénommé Arthur, hop, et on n’en parle plus ; par chance, je m’étais retrouvée enceinte sans avoir besoin de recommencer l’expérience. Même si Arthur a été d’une douceur parfaite, décidément, je ne prends mon pied qu’avec des filles. — On ne pourrait pas changer le deal, ai-je supplié en pleurant ? Vous ne voulez pas me prendre, moi ? Vous me ferez tout ce que vous voulez, avec des mecs si ça vous amuse, et ils pourront me faire les trucs les plus dégueulasses qu’on voit dans les pornos, me passer dessus avec leurs corps tout poilus : j’avalerai leur semence, mon cul servira de garage à leur bite. Même la double ou la triple ou la décuple pénétration, j’accepte tout ! Tout, ...