1. La joueuse invétérée


    Datte: 18/09/2017, Catégories: f, fh, ff, ffh, jeunes, ascendant, Collègues / Travail bizarre, école, fsoumise, fdomine, vengeance, dispute, miroir, Masturbation Partouze / Groupe fsodo, jouet, sm, BDSM / Fétichisme policier,

    ... absolument tout, mais laissez Quentin tranquille, je vous en supplie !— Allons, Mélanie, m’a dit doucement Anaïs tout en caressant tendrement mes cheveux, arrête de déblatérer des cochonneries que tu ne supporterais même pas de regarder, sans même parler de les vivre ! Tu sais bien qu’un accord est un accord et qu’entre nous, la parole donnée est une chose sacrée ! D’ailleurs, tu as déjà pas mal de dettes avec nous, en ce moment. On sait bien que tu adores ton fils, alors justement : il ne faudrait pas qu’il lui arrive quelque chose de grave. J’ai senti sur mon visage le souffle froid de sa respiration de crotale. Un instant, elle a fermé les yeux dans un mauvais sourire : en se rendant compte à quel point j’étais désespérée, elle a dû jouir d’un orgasme sadique. — Tu serais trop triste, et nous, on t’aime bien, tu sais, a insisté l’immense Barbara aux yeux d’une effrayante noirceur. Elles ont écarté un pan de sa veste pour me montrer les armes à feu qu’elles cachent en permanence sous leurs vêtements, histoire d’insister sur les conséquences mortelles qu’aurait un manquement à mon engagement. En me jetant à corps perdu dans cette partie infernale, moi, l’innocente professeure de lettres à l’Université, j’avais oublié à quel point mes partenaires de jeu étaient de mauvaises filles, prêtes à tout pour plumer une pauvre oiselle victime de son addiction. Nous avons quitté l’appartement qui nous sert habituellement de salle de jeu plus tôt qu’à l’accoutumée. J’ai entendu ...
    ... claquer la portière du Porsche Cayenne rouge sang d’Anaïs et Barbara, qui vivent en couple. Anaïs est une petite brunette aux cheveux longs et aux grandes lunettes rondes, cerclées de fer, qui mangent son visage ; elle a un joli sourire et on lui donnerait le Bon Dieu sans confession, mais son esprit est plus noir qu’une nuit sans lune et plus tordu qu’un spaghetti trop cuit. Son appétit pour le pouvoir et l’argent dépasse l’entendement, à moins que soit carrément la souffrance de ses proies qui motive son action. Sa compagne Barbara, une jeune Africaine d’un mètre quatre-vingt-dix, taillée comme un garde du corps – elle a un passé de catcheuse professionnelle – et le crâne intégralement rasé, est son âme damnée. Elles partagent tout. Les deux compères ne se sont jamais séparées de plus d’une largeur d’épaules. La peau de la géante est transpercée de quantités de bijoux en métal précieux qu’Anaïs lui a offerts. Toute cette joaillerie tinte à chacun de ses pas : les lèvres, les tétons où deux anneaux sont reliés par une chaînette en or, le pubis épilé avec soin, les nymphes parées d’une rangée de boucles sur toute la longueur, et même le clitoris, pourtant sauvéin extremis de l’excision dans son enfance, est traversé d’une imposante manille de platine, une parure de grand prix dont elle est extrêmement fière, à cause de l’extrême douleur qu’elle a endurée lors de l’installation du joyau, une merveille qu’elle montre à qui veut l’admirer, notamment sur les plages libertines où les ...
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