1. La joueuse invétérée


    Datte: 18/09/2017, Catégories: f, fh, ff, ffh, jeunes, ascendant, Collègues / Travail bizarre, école, fsoumise, fdomine, vengeance, dispute, miroir, Masturbation Partouze / Groupe fsodo, jouet, sm, BDSM / Fétichisme policier,

    ... parce que d’une part j’ai horreur de me baigner dans la mer, et d’autre part cela ne sauverait pas mon Quentin chéri des griffes de ces trois dépravées vicieuses et perverses qui savent très bien où nous habitons. Ma première idée est d’attendre l’ouverture de la banque afin solliciter un prêt. Sauf que je suis déjà endettée à mort, fichée, répertoriée comme une créance à risque. Mon banquier ne voudra jamais me fournir l’argent qui me fait défaut. Même si je rampais sous son bureau et que je descendais sa braguette afin de bouffer l’appendice qui doit lui brûler, à lui comme aux autres. Gorge profonde, jusqu’à la garde, et les couilles, aussi, suivie d’une sodomie, la petite jupe relevée et la culotte sur mes chevilles, à quatre pattes sur les dossiers de surendettement qui encombrent son bureau ; je suis étroite, ce qui devrait lui plaire, et je sais aussi simuler l’orgasme, pour qu’il se croie le dieu du sexe. Il est jeune, fraîchement émoulu d’une école de finance, et sûrement plein de vitalité dans la direction qu’indique sa cravate toujours impeccable. Même si je l’autorisais à utiliser mon corps pour assouvir tous les fantasmes masculins qu’on voit dans les pornos les plus glauques, ceux qu’il visionne sûrement sur son ordinateur professionnel, entre deux clients ? Il possède peut-être un long fouet dans son coffre, pour les clientes soumises qui, bien qu’insolvables, ont absolument besoin d’un crédit rapidement. Ah bon, l’établissement ne fonctionne pas ainsi, alors ...
    ... d’accord, tant pis, je me rhabille. Au revoir, Madame la dépravée, et bon courage. Quatre heures du matin. Les travailleurs les plus matinaux quittent leur domicile après avoir sorti leur poubelle, les visages encore perdus dans leurs rêves trop tôt interrompus. D’habitude, je ne rentre pas avant les premiers rayons du soleil, pour ingurgiter vite fait un café très fort et me trouver en face de mes chers élèves. Heureusement, les whiskies que j’ai bus au cours de la partie conservent quelque temps encore leur effet apaisant. Mais je sais que l’atterrissage qui m’attend dans une heure ou deux sera terrible. Je crains la crise d’angoisse à venir. Quelques pas plus loin, mes mains tremblent, mes jambes flageolent. Je vais être incapable de finir le trajet jusque chez moi. Prendre un taxi ? Non, je n’ai pas envie de croiser le regard d’un homme qui regardera surtout mes attributs mammaires. Il faut que je me calme, que je respire profondément, et surtout que je trouve une solution. Je trouve refuge sous les arcades de la vieille ville, cachée dans un renfoncement, et glisse une main dans mon pantalon. J’écarte ma culotte déjà humide. Me caresser, c’est ça, pour évacuer le stress. Le plaisir monte d’autant plus violemment la tension est grande. Je me vois dans la vitrine d’un magasin de jouets, derrière le rideau de fer. Cette image me séduit. Le pantalon descend à mes chevilles, le cache-sexe jusqu’au milieu des cuisses entrouvertes. Si quelqu’un me découvrait ainsi ! Et si, pour ...
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