La joueuse invétérée
Datte: 18/09/2017,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
jeunes,
ascendant,
Collègues / Travail
bizarre,
école,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
dispute,
miroir,
Masturbation
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
sm,
BDSM / Fétichisme
policier,
... payer mes dettes, je vendais mes organes ? Au secours, y a-t-il un chirurgien véreux dans les parages ? Ou mieux, accepter de jouer dans unsnuff movie lesbien où une belle et monstrueuse créature découperait mes membres à la tronçonneuse, après m’avoir suspendue à un crochet par les pieds, la tête en bas, afin que je reste consciente le plus longtemps possible ? Ces fantasmes sanglants inspirent les mouvements de mes doigts – les miens ont toujours été macabres. La jouissance vient très vite, et elle est fulgurante. Faut-il toucher le fond pour rebondir au septième ciel ? Je bloque ma respiration et mords ma lèvre inférieure pour ne pas hurler. En face de moi, un mannequin habillé en Wonder Woman me regarde fixement de ses yeux de plastique, étonnamment expressifs. Va-t-elle me sauver de mes ennuis avec sa force surhumaine ? Il faudrait que je sois cette amazone pour anéantir mes ennemies. Tiens, parmi les joujoux pour garçons en manque de guerre, un pistolet en plastique : il imite très bien celui d’Anaïs. Et si je l’achetais afin de braquer une bijouterie ? Non, le bijoutier se rendrait très vite compte de la supercherie, et me rirait au nez. Plutôt crever que le ridicule. Sérieusement, il me faut trouver autre chose. Fuir. Dans un pays très lointain, où Anaïs et Barbara ne nous retrouveront jamais. Finie, la littérature, les textes merveilleux à lire devant mes étudiants qui sont, pour la plupart, de ravissantes jouvencelles, dont certaines ne sont pas farouches du ...
... tout ; parfois, par chance, l’une se laisse inviter au restaurant et la soirée se termine d’une façon romantique à l’appartement. Finie, la poésie que je leur lis parfois tout en leur massant doucement les pieds, avant de passer à des activités encore plus câlines. Pour payer quand même des études à Quentin, je nettoierai les chiottes, je ramasserai les ordures, et s’il le faut, nous nous cacherons dans un pays en guerre et je ferai le trottoir pour vider les couilles de soldats ivres et puants qui auront le regard éteint par de trop insoutenables combats. Une fois rhabillée, je rentre à l’appartement. Il va me falloir expliquer la situation à mon fils. Je décide de ne même pas attendre qu’il se réveille. L’attente serait insupportable. De toute façon, il n’y a pas une minute à perdre pour faire nos valises et foncer à la gare, direction Roissy, et prendre le premier avion pour Hong-kong ou Sydney. Pauvre garçon, bientôt déraciné à cause de sa dévergondée de mère. Sur la pointe de pieds, j’entre dans sa chambre. Surprise. Il n’est pas seul dans son lit, sur lequel il est endormi profondément aux côtés d’une très jolie fille de son âge. Ils sont charmants, tous les deux. Terriblement émouvants. Ils vont devoir se séparer. Ce sera encore plus dur que prévu. Ils dorment nus, enlacés l’un dans l’autre sur la couche étroite, par-dessus les draps. Cela sent fort ; une odeur de fauve que j’aime bien. Ils ont dû beaucoup transpirer au cours de leur étreinte. Tiens, il bande dans son ...