La joueuse invétérée
Datte: 18/09/2017,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
jeunes,
ascendant,
Collègues / Travail
bizarre,
école,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
dispute,
miroir,
Masturbation
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
sm,
BDSM / Fétichisme
policier,
... sommeil. Réflexe organique, ou rêve-t-il de nouvelles étreintes avec la déesse qui dort à ses côtés ? Quentin entre les griffes d’Anaïs et Barbara, soumis aux mêmes sévices que la pauvre Estelle ? Jamais ! Il est bien trop frêle, mon bel éphèbe à peine sorti d’enfance, avec un corps d’une élégance gracile, presque efféminé, ce qu’il ne cherche nullement à masquer à préférant porter des vêtements aux couleurs pastel, en s’épilant la barbe au lieu de la raser, et en laissant pousser ses cheveux jusqu’aux épaules. Il a toujours aimé jouer une certaine ambiguïté de genre, ce qui semble avoir plu à la belle, la très belle Vanessa. En m’approchant sur la pointe des pieds, je reconnais la fille : elle s’appelle Vanessa et fait partie de mes étudiantes de première année de licence. Les deux jeunes amoureux doivent avoir le même âge. Son corps qu’éclairent les premières lueurs de l’aurore derrière les lattes disjointes des volets est parfait et son visage, d’une bouleversante régularité, en est la quintessence. Elle ouvre ses yeux vert pomme, lumineux à en donner le vertige, qu’elle écarquille aussitôt de surprise. Par réflexe, elle couvre sa nudité avec le drap. Qui suis-je pour avoir osé troubler la pudeur d’un ange ? — Je suis désolée, dis-je : je ne voulais pas te faire peur. Dors. Il faut que je parle à Quentin, maintenant. C’est très important. Il se réveille à son tour, incrédule devant ma présence dans la chambre où ils ont fait l’amour une bonne partie de la nuit. Il doit ...
... croire à un cauchemar. Hélas ! Puisqu’il ne semble pas décidé à se lever pour laisser dormir sa compagne, je m’assieds sur le bord du lit pour tout lui expliquer, sans lui cacher le moindre détail de ma sordide addiction au jeu ni du fait qu’il est l’enjeu perdu de ma mise imbécile : une calamité dont je suis en grande partie responsable. — Ne t’inquiète pas, Maman, dit-il tranquillement. J’irai à ce rendez-vous, et je me soumettrai à toutes leurs exigences. D’ailleurs, j’ai toujours rêvé d’être dominé par des femmes gangsters. Je trouve ça très excitant. La solidité de l’érection qu’il ne fait rien pour me cacher prouve qu’il ne ment pas. — Tu es fou, Quentin. Elles vont te massacrer. Que ce soit ton fantasme, soit. Mais dans la réalité, il n’est pas question que je te laisse te jeter dans les griffes de ces ordures. Amusée par cette brusque levée phallique, Vanessa caresse doucement le gland humide de rosée, du bout de ses petits doigts agiles, puis branle fermement le membre jusqu’à le faire éjaculer. Il n’émet que quelques gouttes de sperme. Ils ont dû copuler jusqu’à l’épuisement, dans la nuit. Puis ils s’embrassent à en perdre le souffle, comme s’ils voulaient fusionner leurs visages. Manifestement, ces deux coquins se plaisent à m’exhiber leur amour sans pudeur. Voir mon fils faire l’amour sous mes yeux me trouble d’autant plus que je brûle de désir pour sa compagne. Ils le sentent, et ils s’en amusent. Que la vie leur est légère ! Vanessa laisse glisser le drap et ...