Trou de la balle - Histoires de Sexe

Trou de la balle

... son cœur, du genre « Une belle gonzesse, mais froide comme un iceberg. Je me demande comme Roland ne s’est pas givré la queue avec elle. »— Charmant, en effet. D’autant qu’Adeline m’a montré une photo de sa chérie à poil ; c’était une très belle femme, et d’après ce qu’elle m’a dit, très réceptive aux rapports humains.— De fil en aiguille, le mec m’a proposé d’aller prendre un verre chez Roland, histoire de lui remonter le moral. J’ai pinaillé un peu, puis je l’ai suivi. L’occasion était trop belle, et même si je devais passer à la casserole, je ne pouvais pas la louper. Ma chérie est vraiment épatante. Je ne connais pas un cogne ou un chat-fourré capable de faire accoucher des bourrins comme elle. — Sandra, tu es vraiment extraordinaire. Alors, dis vite.— Ils étaient un peu torchés tous les deux, si bien qu’ils parlaient sans que j’aie besoin de les asticoter. Si Roland n’a pas tué directement sa meuf, en tout cas il a participé à sa perte. L’accident n’était pas un hasard ; c’est Roland qui l’a dit directement.— Et après ?— Roland a voulu me sauter. Je me suis trouvée couchée en travers du canapé, le cul en l’air avec la queue du veuf ramonant mon con. Heureusement, j’ai eu le temps de la couvrir d’un préservatif. Son pote a présenté son chibre devant mon visage, me demandant de le sucer tandis qu’il me tripotait les nichons. J’avais cette queue au fond de mon con faisant des va-et-vient si rythmés que j’avais toutes les peines du monde à garder l’autre pine en bouche. ...

... Roland était si excité que j’ai subi sans rien pouvoir proposer. Il n’a pas retenu son plaisir et il a libéré son foutre au fond de mon vagin, dans sa capote, en quelques secondes seulement. Daphné ne devait pas jouir souvent avec lui : on comprend pourquoi elle s’est tournée vers les nanas.— OK, mais qu’est-ce qu’ils t’ont dit d’autre ? je demande, car même si je ne suis nullement jaloux des frasques de Sandra (surtout si j’en suis l’instigateur comme ici), j’apprécie qu’elle m’en délivre tous les détails.— Attends ; Jerry n’avait pas lancé la sauce et il a voulu m’enculer. La crevure, mais avec la dose d’alcool qu’il avait ingurgitée, il n’était pas au top. Sa queue manquait de rigidité. J’ai fini de le sucer, et c’est sur moi qu’il a déversé son foutre.— Après !— Eh bien, en rejoignant la salle de bain, j’ai pu zieuter la maison. Car il semble que ton bonhomme a un alibi en béton armé : il était toute la soirée avec des amis chez lui. Ça, c’est son pote qui me l’a dit, en ajoutant « C’est dans la maison qu’il était, pas forcément avec tout le monde tout le temps. »— Ce qui signifie qu’il a pu filer et agir contre sa femme, si on ne veut pas encore dire tuer, et revenir sans que personne ne s’en aperçoive ?— Surtout qu’on peut sortir de la maison en passant par la fenêtre de la chambre et s’éclipser par une porte dérobée dans une petite ruelle sans être vu de quiconque. Si les invités étaient au salon, ils ne pouvaient pas voir cette partie du jardin.— Il avait besoin d’une ...