1. Pourquoi résister ?


    Datte: 24/01/2020, Catégories: f, fh, ff, fbi, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme ffontaine,

    ... n’aimiez pas ?— Euh… oui.— Souvent ?— De temps à autre…— Vous avez déjà fait l’amour avec une femme ?— Non, Madame Svensson.— Vous avez déjà eu envie de faire l’amour avec une femme ? Carole sentit sa gorge se nouer ; d’une voix blanche, elle acquiesça. — Oui.— Et avec plusieurs partenaires ?— Non.— Même pas dans vos fantasmes ? Cette femme lisait dans son esprit ! Comment était-ce possible ? — Si, dans mes fantasmes…— Hommes ou femmes ?— Les… les deux, Madame Svensson.— Donc, si vous vous retrouviez avec une cliente, pensez-vous que cela vous poserait problème ?— Non… non, Madame Svensson.— Il nous arrive de plus en plus souvent d’avoir des clientes soit lesbiennes, soit désireuses de faire croire qu’elles pourraient l’être.— Oui ?— Donc, ça ne vous gênerait pas de flirter en public avec une autre femme ?— Je ne crois pas…— Vous êtes sûre ?— Je crois…— C’est assez gênant de ne pas en être sûre ; il faudra régler cette question rapidement. Mais passons à autre chose. Si votre client vous demande de mettre des tenues seyantes, voire provocantes, j’imagine qu’avec votre plastique irréprochable cela ne devrait pas vous poser de problème ? Carole s’imagina dans une robe dos nu ou très échancrée. — Non, pas du tout.— Je vois que vous portez des talons et que vous êtes habituée à marcher avec.— Oui, Madame Svensson— Jusqu’à quelle hauteur ?— Je ne sais pas…— Vous chaussez du 39 ?— Oui. Madame Svensson se tourna vers la secrétaire. — Agnès, prêtez vos talons à Mademoiselle ...
    ... Leroi, s’il vous plaît. La jeune femme se leva aussitôt et se dirigea vers Carole. Rapidement, elle se baissa et défit la bride de ses chaussures et les ôta avant de les poser à côté des pieds de Carole ; le talon faisait certainement plus de 10 centimètres. Sans un mot, Carole ôta ses propres escarpins et glissa ses pieds dans les chaussures d’Agnès. Elle ferma la bride au-dessus de sa cheville. Elle se leva et sans qu’on le lui demande, fit quelques pas. Elle prit rapidement de l’assurance. Agnès, sans un mot, regagna sa place. — Très bien, Carole. Par contre, j’aimerais beaucoup que vous ôtiez votre collant : il est vraiment dommage de gâcher un si beau spectacle.— Oui, Madame Svensson. Carole se sentait humiliée ; elle s’en voulait d’avoir déçu madame Svensson. Elle se dirigea vers la porte. — Non, non, faites-le ici. Elle s’arrêta et obéit. Elle se baissa pour défaire la bride de ses chaussures, les ôta et tira sur son collant. Il glissa au sol. — Remettez les chaussures d’Agnès et jetez-moi ce collant à la poubelle. Carole obéit, remit les chaussures et prit le collant qu’elle jeta à la poubelle. — Restez debout, Carole, s’il vous plaît !— Bien… Madame Svensson se leva et tourna autour d’elle. — Levez les bras !— …— Baissez-vous !— …— Cambrez-vous !— … Carole obéissait rapidement aux injonctions de sa future patronne, comme par automatisme. Lorsque la main de Madame Svensson glissa sur sa jambe, elle sursauta. — Parfaitement épilée, j’apprécie, c’est bien.— Merci, Madame ...
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