1. Pourquoi résister ?


    Datte: 24/01/2020, Catégories: f, fh, ff, fbi, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme ffontaine,

    ... Svensson— Vous sentez bon : c’est un plus.— Merci.— Et vous avez un corps superbe !— Merci, Madame.— Quand souhaitez-vous commencer ?— Dès que possible, Madame Svensson.— Bien. Agnès a vos coordonnées ; vous serez recontactée. En attendant, Agnès vous remettra un chèque de 2000 euros pour que vous puissiez régler une partie de vos factures et vous acheter de la lingerie et quelques accessoires. Vous passerez obligatoirement aux magasins qu’Agnès vous indiquera ; on saura vous conseiller sur place et vous bénéficierez d’un tarif spécial. Vous passerez dès cet après-midi un examen médical complet ; Agnès vous transmettra l’heure et le lieu. En outre, vous repasserez ici vendredi pour un entretien complémentaire.— Merci beaucoup, Madame Svensson.— C’était un plaisir de vous rencontrer, Carole ; je suis sûre que notre collaboration sera fructueuse.— À vendredi, Madame Svensson.— À vendredi. Agnès, vous prêterez vos chaussures à Mademoiselle Leroi jusqu’à vendredi. Gardez-les, Carole, elles vous vont à ravir. Agnès, vous pouvez mettre celles de Mademoiselle Leroi.— Euh… bien, Madame Svensson. Agnès baissa les yeux et sans un mot prit délicatement les escarpins de Carole et les chaussa avant de sortir du bureau. Carole sortit derrière elle et la suivit. Agnès lui tendit un chèque et l’adresse de trois magasins puis elle lui donna la carte de visite d’un médecin avec un horaire de rendez-vous. — Vous avez rendez-vous dans une heure ; je vous appelle un taxi, sinon vous n’y serez ...
    ... pas à temps. Nous prenons le taxi à notre charge. Vous avez votre carnet de santé ?— Euh…oui, oui, merci. À vendredi, Agnès…— À vendredi, Mademoiselle Leroi. Vous pouvez descendre : le taxi arrivera dans quelques instants. Il connaît l’adresse. Carole, un peu chamboulée, sortit et prit l’ascenseur. Elle attendit deux minutes à peine avant de voir une Mercedes noire s’arrêter. Le chauffeur descendit et lui ouvrit la portière. — S’il vous plaît, Mademoiselle…— Merci. Elle s’engouffra dans la voiture qui, après quelques instants, filait dans le trafic. Quinze minutes plus tard, la Mercedes stoppa devant une bâtisse du XVIIème siècle assez imposante. Le chauffeur lui ouvrit la porte et la salua. — Bonne journée, Mademoiselle.— Merci beaucoup. Elle avança vers la grille et la poussa. Après quelques pas dans le jardin, elle monta quelques marches et appuya sur un bouton de sonnette en laiton patiné. Une jeune femme vint lui ouvrir. — Mademoiselle Leroi ?— Bonjour…— Suivez-moi, s’il vous plaît. Carole suivit la jeune femme dans une salle d’attente où patientaient une dame et deux enfants en bas âge. Après quelques minutes, elle se retrouva seule ; elle n’avait pas vu le médecin. Elle avait simplement entendu une voix grave. Il était près de 13 heures lorsqu’elle vit enfin la porte s’ouvrir sur un homme massif, dans la quarantaine. — Mademoiselle Leroi ?— Bonjour…— Suivez-moi, s’il vous plaît. Il la guida vers le fond du couloir et lui indiqua un fauteuil de cuir. Il consulta le carnet ...
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