Pourquoi résister ? - Histoires de Sexe

Pourquoi résister ?

... de santé un moment puis releva la tête et lui sourit. — Aucun problème de santé majeur récemment ?— Non…— Vous vous sentez en bonne forme physique ?— Oui.— Troubles du sommeil ? Vous avez l’air fatigué…— J’ai mal dormi cette nuit…— L’appréhension, j’imagine ?— Oui… un peu.— Vous imaginez que cette visite est un peu "particulière" et plus complète qu’un simple examen médical. Mon assistante va venir vous faire une prise de sang, si toutefois vous êtes à jeun.— Je n’ai rien pu avaler ce matin…— OK, dans ce cas. Il décrocha son téléphone. — Patricia, vous pouvez venir pour une prise de sang ? Apportez également le nécessaire pour l’examen et un bocal. Il raccrocha. — Je m’excuse un instant ; je vais passer à une autre consultation, le temps pour Patricia de vous faire la prise de sang et de vous préparer.— Oui, d’accord. Il sortit par une porte matelassée et Patricia arriva. Elle invita Carole à passer dans la pièce attenante où trônait un banc gynécologique. Elle lui sourit et lui tendit un petit bocal de plastique. — Une petite envie ? Ce serait idéal… Comme Carole n’était pas passée aux toilettes depuis un moment, elle prit le flacon et alla dans les toilettes que lui désignait la jeune femme. Elle baissa sa culotte et constata qu’elle était très humide… Elle se concentra, et après quelques secondes le flacon était plein. Elle le ferma et se nettoya avant de se laver les mains. La jeune femme prit le flacon et la remercia. Elle lui désigna un fauteuil et Carole s’assit. — ...

... Bras gauche ou droit ?— Gauche, de préférence…— OK, allons-y, ça ne sera pas douloureux. Elle désinfecta la peau et piqua l’aiguille sans hésiter. Trente secondes plus tard, c’était terminé. Elle mit un petit sparadrap et invita Carole à se lever. Elle changea ses gants de latex. — Déshabillez-vous s’il vous plaît, Mademoiselle Leroi. Carole fit glisser sa robe et se retrouva en dessous. Le petit signe de tête de la jeune femme lui fit comprendre qu’elle devait être totalement nue. Elle dégrafa son soutien-gorge et fit glisser sa culotte. Se retrouver nue en talons aiguille l’émoustillait un peu ; la pointe de ses seins trahissait son excitation naissante. Pour masquer sa gêne, elle ôta ses chaussures. — Veuillez monter sur la balance, s’il vous plaît.— Bien…— 62,3. Parfait. Je vais prendre vos mesures. La jeune femme la toisa, puis prit son tour de taille et son tour de cuisse. Quand Carole sentit les mains de l’assistante du médecin glisser vers l’intérieur de ses cuisses, elle sentit son ventre se réchauffer. Lorsque la jeune femme prit son tour de poitrine, ses tétons se dressèrent aussitôt. Surtout que la jeune assistante avait certainement fait exprès d’agacer ses tétons avec son mètre ruban glacial ! — Vous êtes plutôt réceptive, Mademoiselle Leroi…— Pardon, je suis désolée.— Ne vous excusez pas, la suite n’en sera que plus agréable. Vous voulez bien prendre place ? Elle lui indiqua le banc gynécologique. Carole s’assit, un peu gênée. — Mettez-vous en position, s’il vous ...