1. Le concert


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, jeunes, profélève, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, pénétratio, jeu,

    ... et je retirai ses collants presque à regret. Magali ne portait plus qu’une culotte et son débardeur et elle était sensuellement allongée sur son lit. C’était peu de dire que le désir m’étouffait. L’envie de laisser mes mains sur son corps se bataillait ferme avec l’idée que je n’en avais pas le droit. Je me permis toutefois de masser ses jambes délicatement, sans aller trop loin. Après tout, ses bottes lui avaient fait mal et c’était un geste thérapeutique, pas sexuel. Cependant, sa peau sur mes mains, c’était une sensation dont je ne me passais pas. Je décollai ma main et je restai paralysé un moment. Elle était dans une tenue plus qu’acceptable pour dormir mais je n’arrivais pas à me résoudre à la laisser maintenant. J’étais tellement concentré sur moi, mes envies, mes désirs, que je n’avais plus du tout fait attention à elle, sa respiration et sa posture. Ce fut sa voix, toute ensommeillée, qui me remit les pieds sur terre. — Je veux bien que tu m’aides à enlever le débardeur aussi, me fit-elle. Moi qui hésitais tellement à poursuivre mes investigations, m’entendre donner l’autorisation de cette manière, je faillis me jeter sur son haut ! Je répondis doucement « d’accord » et m’avançai un peu plus sur son lit. Mes mains attrapèrent le bas de son débardeur et je la vis se contorsionner dans un effort pour lever les bras. Elle était donc réveillée, et peut-être depuis un moment. Ma retenue avait disparu et je n’hésitais pas à caresser avec le dos de mes doigts son ...
    ... ventre en lui retirant son haut. Elle portait un soutien-gorge que je frôlais de mes doigts et je retirai son débardeur. — Le soutien-gorge aussi, fit-elle dans un murmure, toujours les yeux fermés. Je passai mes bras derrière son dos, à la recherche de l’attache que je n’eus pas de difficulté à retirer. Bien plus doucement qu’il n’était nécessaire, je fis glisser les bretelles de son soutien-gorge pour libérer ses seins, enfin offerts à ma vue. Ils étaient magnifiques et je restai immobile un petit moment à les contempler. Ils ressemblaient à ceux de Juliette, dans leurs rondeurs, dans leur aspect doux et délicat. L’envie de les caresser était forte mais je ne pouvais pas m’accorder ce droit. Le soutien-gorge entièrement retiré, j’avais le corps de Magali presque entièrement offert à moi. Elle bougea pour trouver une position confortable et ses gestes se firent langoureux et sensuels. Il était bien difficile d’y résister. — Merci, me fit Magali, et bonne nuit. Ça y est, elle venait de mettre un terme à mes hésitations. Je n’avais pas l’autorisation d’aller plus loin et l’idée de prendre tout de même cette autorisation ne trouva pas sa place en moi. Je pris la couverture et la remontai doucement sur elle, cachant ce somptueux paysage. Je voulus l’embrasser sur le front avant de lui souhaiter une bonne nuit mais, avec une vivacité que je n’attendais pas, Magali m’attrapa par la nuque et vint m’embrasser sur la bouche. Son endormissement dans la voiture, le fait que je doive la ...