1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    ... me revient encore chaude de vos étreintes, et ces étreintes en provoquent d’autres avec moi. Des étreintes que nous n’avions plus depuis longtemps, des années, Véronique s’étant totalement plongée dans son travail. Mais ce ne sont pas seulement des « baises » – excusez ma vulgarité –, c’est surtout l’intensité de nos échanges. Chaque soir vous me renvoyez une femme plus chaude, plus entreprenante, plus sensuelle, plus innovante. Tenez, l’antre matin elle ma sucé jusqu’à ce que je jouisse dans sa gorge. Vous imaginez ? Bien sûr que j’imagine. Il m’a fallu batailler longtemps pour qu’elle accepte mon foutre en bouche. — Ah… Je ne sais pas quoi dire. C’est assez inattendu. Mais si cela a pu vous rendre service, j’en suis heureux. Donc on ne change rien, si je vous comprends à demi-mots.— Rien. Enfin, presque rien ; juste un détail : je voudrais vous regarder.— Nous regarder ? Vous voulez dire faire le voyeur ?— On appelle cela le candaulisme. Bien que dans mon cas je n’aie pas mis ma femme dans vos bras, elle s’y est mise toute seule. Mais maintenant, chaque soir, avant qu’elle n’arrive et pendant que nous baisons, je ne cesse de l’imaginer dans les bras d’un autre. Je voudrais vivre vraiment cet instant en vous regardant. Rassurez-vous, je resterai caché ; je ne dirai rien qui ne perturbe votre rencontre : pas d’esclandres, pas de cris. Juste une ombre. Véronique ne se doutera de rien.— C’est pervers…— Non, c’est la vie. On peut être cocu et fâché de l’être. Moi j’ai choisi – ...
    ... enfin, pas vraiment – d’être cocu mais d’en tirer tous les avantages, comme des dizaines de milliers de maris candaulistes. Je comprends que je peux difficilement refuser. Le voyeurisme, je le pratique lorsqu’avec mon cousin nous nous partageons la même femme ; mais un mari qui regarde m’étonne plus. Quelques minutes plus tard, je le laisse à l’étage en dessous pour continuer par l’escalier alors que moi je finis en ascenseur. Véronique m’attend. Elle est impatiente. C’est vrai que chaque jour elle devient de plus en plus coquine, inventant des scénarios, me laissant libre de jouer avec son corps et le mien. Ce soir, je l’entraîne aussitôt dans son bureau. Je ne peux m’empêcher de regarder si je vois son mari, mais il reste discret. Pourtant sa présence supposée est un formidable aiguillon. C’est comme un défi à relever de lui montrer ce que je peux faire de sa femme, et du même coup de ce qu’il peut en profiter. Je commence par une fellation, la tête en arrière, position devenue notre « mise en bouche ». Mais une fellation menée à son terme et qui me permet de me vider les couilles dans la gorge maintenant bien plus accueillante. Ainsi l’homme peut voir sa femme, le visage souillé et la bouche pleine de mon foutre que je lui ai appris à goûter de la langue avant de l’engloutir. Et puis une baise où elle me chevauche, cavalière qui se donne du plaisir toute seule. Elle se possède sur mon mandrin qu’elle connaît bien maintenant et qui lui semble presque normal, ce qui me fait ...
«12...111213...17»