Ascenseur de la sexualité
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
... penser qu’un jour je pourrai venir avec mon cousin pour une surprise. Je suis persuadé que son mari n’a jamais vu sa femme ainsi, exaltée, excitée, se caressant les seins, se frottant le clitoris dans une danse frénétique dont la musique n’est faite que de « Oh… Oui… C’est bon… T’es gros… J’adore… Je jouis… » Et si j’attrape un téton pour le tordre, « Oui… Fais-moi mal… Je suis une salope… Je mérite d’être punie… Encore… » Et lorsque sa jouissance la submerge, que son regard se trouble derrière ses cils collés de sueur et de salive, que sa bouche éructe son plaisir avec des restes de mon foutre, alors moi aussi je me joins à elle, cherchant un reflet, une ombre qui me montrerait la présence du mari. Mais d’une certaine façon je n’ai pas besoin de le voir. Moi aussi, de me savoir observé, je me sens autre : plus fort, plus puissant, plus vigoureux. Une vigueur qui me permet, presque dans la foulée, de posséder Véronique en levrette. Une levrette maintenant classique, à quatre pattes face à la grande baie vitrée qui permet de voir chez les voisins, de l’autre côté de la rue. Des voisins qui, s’ils levaient la tête, pourraient deviner des ombres se déplacer bizarrement. Je la baise avec force, lui tirant sur les cheveux pour la faire se cambrer et s’offrir encore plus. Mon ventre claque contre ses fesses, rythmant nos gémissements. Oui, nos gémissements, et donc les miens car je dois reconnaître que Véronique me comble. C’est une femme pleine de surprises. Une DRH froide, ...
... distante, cassante ; mais dès que le masque tombe, elle devient une femme, une femelle qui chaque jour découvre et expérimente sous ma direction des plaisirs nouveaux. Je suis son formateur et je suis fier d’être, si jeune, un enseignant pour cette épouse qui passait à côté de sa sexualité. Et ce soir je sais que, par ricochet, cette aventure fait le bonheur de son mari. Et il est là, le mari, quelque part à nous observer. Que pense-t-il de ce que je lui offre ? Il doit être étonné, surpris et j’espère heureux de découvrir une épouse qui ne doit lui montrer une fois chez elle que l’écume de sa nouvelle sexualité. Est-ce que ce n’est pas trop fort pour lui, cette femme, cette épouse, que je baise comme une chienne et qui se vautre dans cette luxure comme une autre dans la culture ? Et il ne sait sûrement pas tout. Sait-il que depuis quelques jours je l’ai convertie à la sodomie ? *********** Elle ne voulait pas. Déjà avec son mari, une fois, il avait essayé, il y a longtemps, mais elle n’avait pas aimé. Trop vulgaire. Trop contre nature. Elle avait peur. Pourtant mes doigts jouaient déjà dans son anus et elle acceptait l’hommage de ma bouche et de ma langue comme une sorte de transgression, mais en appréciant le plaisir particulier. *********** Elle comprend lorsque, d’une main ferme, je la force à poser son visage sur la moquette dans une position qui accentue encore la cambrure et m’offre ses fesses. — Ahhhhhhhh… Elle ne proteste plus lorsque mon gland force son cul, et cette ...