1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    ... longue plainte est plus une promesse qu’une douleur. Déjà je suis bien à fond, mes couilles tapant sa chatte. Là-bas, de l’autre côté de la rue, un couple dîne en regardant la télé. Peuvent-ils imaginer qu’il n’y a pas que la télé pour donner du spectacle ? Qu’un beau Black bien membré est en train d’enculer profond une bonne Blanche sous les yeux de son mari ? Au fait, il est où, ce mari ? Si cela se trouve, il n’a pas osé venir, reculant au dernier moment, ou bien il n’a pas supporté de voir sa tendre épouse se livrer entièrement à un amant comme moi. Mais si ! Je le vois. Il est près de la porte, un pied dans le bureau, un pied au dehors. Je croise son regard ; il ne peut s’empêcher de faire un « chut » de la main. Mais le voir augmente encore ma libido. Cette femme que je tringle maintenant gémit et accompagne chacune de mes avancées par des « Oh ! Oh ! C’est gros… » Je la bourre devant lui qui a encore avancé dans la pièce. Je devrais le chasser ; il avait promis. Mais j’adore son regard qui ne voit que ma queue qui encule sa femme. Une queue sombre qui tranche sur la peau blanche et pourtant dorée par le soleil. Combien de temps dure ce moment magique ? Je ne sais pas. En tout cas assez longtemps pour que la femelle gronde plusieurs fois de jouissance jusqu’à ce que je me libère pour la troisième fois en moins d’une heure. J’ai rempli ma mission. J’ai honoré cette femelle trois fois, coulant dans chacun de ses trous. Je me retire de ce cul sublime, libérant des ...
    ... coulures de mon foutre. Véronique se redresse, endolorie de partout. — Mais… Jean… Que fais-tu ? C’est Véronique qui, se retournant, découvre son mari. Le con n’a pas fait les quelques pas en arrière qui lui auraient permis de retrouver son anonymat. Il semble pétrifié, et sa femme aussi. Ils se regardent. Elle hoquette : — Ce n’est pas ce que tu crois… Je vais t’expliquer… Mais aussitôt elle se rend compte du ridicule de cette phrase. — Tu es là depuis longtemps ?— Depuis le début.— Tu es entré comment ? Elle se retourne vers moi. — C’est toi qui l’as fait entrer ! Comment as-tu pu… me faire cela ? Tu es un beau salaud ! « Allons bon, c’est moi qui vais trinquer ! » Mais le mari prend ma défense : — C’est moi. Je l’ai forcé. Il n’avait pas le choix sinon je le menaçais d’un scandale dans la rue.— Ah ? Mais cela n’explique pas pourquoi tu es là. Et, Jean, le mari, explique à sa femme ce qu’il m’a raconté. — Je sais qui c’est. Il est à la sécurité. Il va m’entendre ! dit-elle lorsque Jean parle du dénonciateur.— Non, tu ne vas rien faire. C’est entre lui et moi, et crois-moi qu’il va effacer la vidéo, dis-je. Un long silence. La scène est surréaliste. Véronique et moi faisons face au mari, mais lui est en chemise alors qu’elle et moi sommes nus. — Cela se voit tant que cela que j’ai un amant ? Question posée à Jean avec la voix d’une enfant prise la main dans le pot de confiture. L’homme sourit. — Oui. Tu as changé. Pas seulement pendant l’amour ; dans la vie de tous les jours aussi. ...
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