1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    ... Tu es plus décontractée, plus à l’aise. Bref, rayonnante. Cela faisait des années que je ne t’avais pas vue ainsi. Il se tait un moment, puis : — J’ai retrouvé ma Véronique après notre mariage, l’expérience en plus, alors que nous roucoulions comme deux amoureux.— Pourtant c’est bien toi qui as une maîtresse.— C’est vrai, mais tu étais devenue si froide… tu ne m’aimais plus. Tu ne pensais qu’à ton travail.— Mais si, je t’aime encore. Sinon, pourquoi supporter ton infidélité ? Mais pour le travail, tu as raison, je reconnais.— Alors il faut remercier le Ciel d’avoir bloqué cet ascenseur.— Idiot ! Pour la première fois, Véronique sourit. L’ambiance change. — Tu aurais pu me parler de tout cela à la maison. Pourquoi venir ici ? Jean hésite un moment avant de répondre : — J’ai un peu de honte à l’avouer, mais je voulais te voir avec Sam. Depuis des semaines, cela me hante. Je me croyais pervers, mais j’ai compris que beaucoup de maris sont comme moi. Des maris amoureux de leur compagne, comme moi de toi (silence chargé de tendresse entre Véronique et Jean), qui justement parce qu’ils sont amoureux souhaitent le meilleur pour elle. Et si ce « meilleur » c’est d’avoir un amant, alors c’est encore mieux de participer pour que le couple reste soudé et aimant. Nouveau long silence après cet aveu. — Donc tu ne m’en veux pas ? Pourtant, ce que tu as vu aurait pu te choquer.— Pas du tout. Ma chérie, tu étais magnifique, splendide, totalement libérée de toute convention. Sam – et je le ...
    ... remercie – t’a conduite dans des chemins que je n’aurais espérés pour toi.— Je ne te dégoûte pas ? Regarde-moi : je ne suis pas la Véronique que tu connais, même si j’ai changé, comme tu le dis.— Oh, chérie, c’est la Véronique que je voudrais à mes côtés encore longtemps.— Jean !— Véronique ! Le moment est magique. Chacun fait un pas vers l’autre. Véronique se cale dans les bras de son mari. C’est beau, un couple qui se retrouve… Jean pose quelques bisous sur le cou et sous l’oreille de sa femme. Véronique réagit, et ils échangent un baiser. Le baiser s’éternise, devient plus langoureux, Jean semblant découvrir la chaleur du corps de sa femme. C’est con, mais maintenant c’est moi qui regarde. Je regarde ce couple qui se redécouvre. Ce baiser qui se prolonge ne peut que révéler l’odeur âcre de mon foutre, qu’ainsi mari et femme partagent. Les mains du mari qui explorent le corps de sa femme, maîtresse encore chaude de moi, doivent aussi découvrir des humeurs que j’ai abandonnées. Véronique arrache littéralement la chemise de Jean. Ils sont peau contre peau, et j’imagine les seins pointés sur le torse de l’homme. Mais la femme continue. Une ceinture. Un zip. Un pantalon qui descend. Un slip qui apparaît pour aussitôt suivre le chemin du pantalon, laissant voir un sexe bien tendu. Il doit être tendu depuis un long moment si son aveu de mari candauliste est vrai. C’est Véronique qui le guide vers le canapé. C’est elle qui le pousse, et aussitôt qu’il est assis, tire sur pantalon et ...